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Camille Laurens

Camille Laurens

Articles (4)

Les meilleurs festivals de musique du moment Ă  Paris

Les meilleurs festivals de musique du moment Ă  Paris

AprĂšs une pĂ©riode d’un mutisme inquiĂ©tant, les enceintes ont repris vie et les projets de teuf poussent plus vite que des champi’ Ă  Woodstock. Et sur la route des festivals, Bison FutĂ© annonce une autoroute du kif ! Dans ce dossier – qui Ă©voluera en fonction des annonces –, vous trouverez de la musique Ă©lectronique mais aussi du rock, du jazz et plein de good vibes
 De quoi raver !

9 sports insolites Ă  tester Ă  Paris

9 sports insolites Ă  tester Ă  Paris

Le yoga vous ennuie et la zumba vous irrite ? Vous préféreriez éclater des vagues d'eau plutÎt que de jouer à la pétanque au bord du canal ? Comme on vous comprend. Amateurs de sensations fortes ou d'expériences originales, on a trouvé pour vous neuf sports insolites à tester à Paris. Qui a dit qu'on ne pouvait pas surfer sur la Seine ?

Quand le militantisme s’invite en club : 6 collectifs engagĂ©s dans la nuit parisienne

Quand le militantisme s’invite en club : 6 collectifs engagĂ©s dans la nuit parisienne

Du Loft au Pulp en passant par le Paradise Garage, les clubs ont souvent servi de refuges aux minoritĂ©s, sexuelles ou ethniques, qui pouvaient y exprimer leur personnalitĂ© sans crainte de prendre un regard de travers. Un rĂŽle politique et militant qu’on retrouve beaucoup dans les clubs LGBT. “Ces clubs ont Ă©normĂ©ment apportĂ© Ă  la lutte contre l’homophobie. Act-Up a fait de ‘Danser=Vivre’ son slogan durant la pandĂ©mie de sida. La musique et la nuit sont des acteurs majeurs dans l’éveil des consciences”, estime Patrick ThĂ©venin, journaliste spĂ©cialisĂ© dans la nuit et la musique. Les identitĂ©s mĂ©prisĂ©es ou en danger le jour sont plus en sĂ©curitĂ© la nuit et certains collectifs ont fait de la nuit leur moyen d’expression pour faire passer des messages, qui vont de la dĂ©fense des droits des LGBTQIA+ Ă  la dĂ©stigmatisation de la nuditĂ© et du sexe. “La nuit est un catalyseur de combats”, ajoute Patrick ThĂ©venin. “La house n’est pas seulement une musique, c’est un mouvement culturel : ne pas se rĂ©signer et montrer que l’on existe pour survivre. Depuis toujours, les clubs accueillent des gens sans considĂ©ration de genre, d’orientation sexuelle et de couleur. Les safe spaces, ces sanctuaires de minoritĂ©s, sont nĂ©s de la nuit. La nuit cristallise les combats d’hier, d’aujourd’hui et de demain, elle est indispensable.” Alors, quels sont les nouveaux combats de la nuit et par qui sont-ils portĂ©s ? Petit tour d’horizon de ces collectifs parisiens conscientisĂ©s et engagĂ©s.

Les dancefloors oĂč se dĂ©hancher en aoĂ»t Ă  Paris

Les dancefloors oĂč se dĂ©hancher en aoĂ»t Ă  Paris

Des queues pour obtenir son Saint-Graal verre au bar, des videurs aussi froids que des ventilos Ă  balle sur la piste, des corps qui se perdent au rythme des DJ sets enflammĂ©s
 Depuis le 9 juillet, la jouissance des retrouvailles est totale ! DiscothĂšques, clubs, bars dansants, open-airs, soirĂ©es, boĂźtes de nuit : appelez ça comme vous voulez, les teufs se multiplient Ă  la vitesse de la lumiĂšre. Pour s’en convaincre, il suffit de zieuter son feed Instagram et revoir les infatigables oiseaux de nuit de sortie : une vĂ©ritable promotion du total look black/ bras en l’air/ yeux dans le vide/ sourires bĂ©ats
 Ça nous avait manquĂ© ! Mais alors oĂč aller en plein mois d’aoĂ»t, quand la capitale se vide et que les bons plans se font plus rares ? Time Out a choisi pour vous les meilleures dancefloors pour noyer son spleen et suer son gin-to. À condition, bien sĂ»r, d’avoir le fameux passe sanitaire dans la poche.