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25 espaces de coworking où il fait bon travailler
Graphistes, rédacteurs, entrepreneurs et autres travailleurs en pyjama, enfilez vos chaussures de ville, en route pour le boulot ! Pour tous ceux qui sont las de bosser dans leur salon, voici 25 idées d'espaces de coworking à Paris et en banlieue pour travailler bien entouré.

Les meilleurs fleuristes de Paris
Ras-le-bol de la grisaille urbaine et du bitume, où le moindre brin d'herbe ne se risque plus depuis longtemps ? Et si votre 30 m² se transformait en un havre de paix ? Ne cherchez plus à pousser les murs, mais remplacez vos étagères surchargées de babioles par des pots de fleurs. Allez hop, on remonte ses manches, on met les mains dans la terre, on arrose, on rempote ! Par ici les plus beaux bouquets de fleurs fraîches ou séchées. On a écumé la capitale pour vous dénicher la crème de la crème, le nec plus ultra en matière de fleuristes parisiens. Un dossier idéal si vous cherchez un cadeau stylé pour Noël, la Saint-Valentin, la fête des mères (et pères !) ou l'anniversaire d’un pote... Flower power !

Le tatouage à Paris
Née il y a des millénaires, la pratique du tatouage n'a cessé de se démocratiser au sein des populations, notamment en France. Importé en Europe à la fin du XVIIIe siècle à la faveur des grandes explorations maritimes, le tatouage a rapidement été considéré comme une pratique de mauvais garçons. En effet, au départ pratiqué par les marins et les soldats, il glisse rapidement au début du XIXe siècle sur la peau des prisonniers, tous unis par l'ennui de la vie en réclusion. Dès lors, et pour de nombreuses décennies à suivre, le tatouage est synonyme d'exclusion sociale.Et puis, peu à peu à partir des années 1990, le tatouage se dissocie de sa mauvaise image pour devenir un réel phénomène de mode : adieu majestueux voiliers tatoués sur le torse, bonjour tribal et autres dauphins incrustés dans le creux des reins. Fort heureusement, dans les années 2000, le tatouage se refait une réputation. Grâce à de nombreux artistes-tatoueurs très talentueux, il s'empare d'une image plus noble, allant jusqu'à être considéré par la majorité comme une forme d'art. En France donc, mais également dans de nombreux pays occidentaux, le tatouage est passé d'un synonyme d'exclusion sociale au statut d'art à part entière, et il suffit d'observer notre cher pays à la loupe pour le comprendre. Tout d'abord, les Français sont de plus en plus friands d'encre. Autrefois réservé aux bad boys donc, le tattoo est aujourd'hui devenu l'apanage de tous, y compris des femmes qui sont de plus en plus nombreuses à

COP21 : ça va chauffer !
COP21 ? Mais encore ? Non, Mitch Buchannon n'a pas rebaptisé 'K 2000' ! Que nenni. COP21, c'est la 21e Conference of the Parties des Nations Unies sur le climat. Un énorme rendez-vous regroupant les représentants de l’Union européenne et de 195 pays, soit 40 000 participants et (gratin du gratin) 3 000 journalistes. Attendez-vous à voir du beau monde déferler sur Paris puisqu’il s’agit du plus grand événement diplomatique jamais accueilli par la France. Objectif commun : trouver un accord pour limiter la hausse des températures à deux degrés, en sachant que nous sommes la dernière génération à pouvoir inverser la courbe et changer notre modèle énergétique. Pression. « Il n’y a pas de plan B, parce qu’il n’y a pas de planète B. » Et de ce point de vue-là, Laurent Fabius a été clair : « Il n’y a pas de plan B, parce qu’il n’y a pas de planète B. » Ségolène Royal, qui avait lancé dans une interview au Monde que « les négociations de l'ONU [étaient] totalement inadaptées à l'urgence climatique », désormais forte de la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte, s’est engagée à porter les idées des citoyens postées sur le site Votre énergie pour la France, auprès des négociateurs de la COP21. Les pistes y fleurissent ! Nul doute que l’événement aura de nombreuses retombées économiques pour Paris et pour la Seine-Saint-Denis avec notamment le recrutement de 800 jeunes, la découverte de produits locaux via des circuits courts, l’utilisation d’un centre de tri insta

Réseau Action Climat nous parle de la COP21
Quelles différences entre cette COP et les précédentes ? La COP21 revêt une importance particulière par rapport aux autres conférences de l'Onu sur le climat, car elle doit voir la signature du premier accord universel sur le réchauffement climatique. La principale différence entre cette COP et les précédentes, c'est que les choses commencent à bouger dans presque tous les pays : les énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse, etc.) se développent partout et deviennent de plus en plus compétitives. Les citoyens et les collectivités territoriales n'ont pas attendu pour agir et ont déjà mis en place des solutions sur le terrain. Et ça marche : transports en commun, rénovation des bâtiments, ateliers vélo, jardins partagés, coopératives de production d'énergie éolienne, etc. Il faut désormais accélérer le développement de ces solutions citoyennes. Cette accélération viendra surtout des gouvernements nationaux, ceux qui aujourd'hui tardent encore à agir. C'est l'autre grande différence avec la COP15 de Copenhague (2009) : la société civile n'attend plus que la Conférence climat de l'Onu règle tous les problèmes. La COP21, ce n'est pas la fin de nos mobilisations. C'est le début d'un changement profond de nos sociétés. La ville de Paris se réjouit des retombées médiatiques et économiques de l’événement. Est-ce cynique de calculer les émissions supplémentaires de CO2 que cela va engendrer ? Il est essentiel d'atténuer au maximum l'impact des COP, notamment en ce qui concer

COP21 : l'avis de Greenpeace
Quels seront les moments forts de la COP21 ? Quelles animations conseillez-vous aux Parisiens ? Nous incitons tous les citoyens à venir participer à la marche pour le climat du 29 novembre, un moment important qui vise à montrer la mobilisation citoyenne autour du sujet. Plus de 200 000 personnes se sont déjà engagées à y participer. Greenpeace y mettra en avant les solutions, qui selon nous, passent par un renouvellement massif de l’énergie. A la clôture de la conférence, ce mouvement citoyen se réunira aussi pour une action qui montrera que si les négociations au niveau politique sont finies, la transition vers les renouvelables est, quant à elle, bien en marche. Y a-t-il une réelle différence (un réel espoir ?) entre cette COP et les précédentes ? Ce n’est pas un sommet, même au plus haut niveau, qui va régler le problème : le compromis trouvé y sera toujours le plus petit dénominateur commun. Greenpeace sait très bien que nous n’avons pas mieux pour le dialogue interétatique que le processus onusien. Rappelons que de l’aveu même de la France, l'accord de Paris ne permettra pas de rester en dessous de deux degrés de réchauffement. Il serait suicidaire de se reposer uniquement sur cette conférence de Paris pour engager la transition et inverser la courbe des émissions de gaz à effet de serre. La ville de Paris se réjouit des retombées médiatiques et économiques de l’événement. Est-ce cynique de calculer les émissions supplémentaires de CO2 que cela va engendrer ? Si ce somm

Nappy : black is beautiful
On se souvient de l'article paru dans le numéro du 13 janvier 2012 du magazine Elle, affirmant l'émergence tant attendue d'une « élégance noire » avec Michelle Obama, grâce à qui le chic serait enfin devenu « une option plausible pour une communauté jusque-là arrimée à ses codes streetwear ». Un point de vue qui avait suscité tout l'intérêt critique de nombreux internautes et journalistes, notamment d'Audrey Pulvar. La courte vue de cet article a eu au moins l'intérêt d'interroger les normes esthétiques établies par l'industrie de la mode occidentale et leurs effets concrets chez les Noirs.


Listings and reviews (8)

Atelier Couronnes
Previously a decrepit stockroom for a material wholesaler, the magnificent, moulded interior and parquet flooring of the Atelier Couronnes concept store is the fruit of months of planning and renovation. Specialising in jewellery, leatherwear and other accessories, the Atelier was founded by Louise Damas (of the accessories brand of the same name) and trained optician Claire Rischette (who set up elegant bag-makers Fauvette Paris back in 2013), and sells not only the owners’ hand-made wares but also pieces from other cool emerging designers. While Damas’ creations ooze comfort and chic, incorporating neoclassical, Victorian and oriental touches in gold items like the ‘Elisabeth’ earrings and the ‘Phèdre’ bracelet (€30-€200), the designs of Rischette’s Fauvette Paris bags are angular, lightly art deco and not unlike Chanel in their striking simplicity. Other attractive ranges include Papier Tigre’s stylish stationery, Kenza’s scented handbags, offbeat cosmetics from Saisons d’Eden, artisanal soap from Le Baigneur, which is made in Montreuil, the Murmur de Bagnolet’s fancy porcelain decorations or pricy watches from southern brand La Trotteuse. Everything is clearly aimed at a very particular type of Parisienne, but it’s all beautifully made and worth checking out for the love of window-shopping alone.TRANSLATION: HUW OLIVER

Terem - La Boutique pédagogique
Since 2004, non-profit social initiative TEREM has trained many hundreds of jobless citizens in commerce and customer service, with outlets such as the ‘Boutique Pédagogique' ('teaching boutique') on the Rue Maroc serving both as fully-functioning shops and as apprenticeship centres. Focusing on toys for babies and young children (mostly under €5), the good condition second-hand stock here spans classics like small toy cars, music boxes and colourful xylophones (€3). Far from being overcrowded with potential presents, the shop floor is relatively sparse, its shelves very carefully stocked with not just toys, but also a few special deli products (chocolate, wine and more).TRANSLATION: HUW OLIVER

Ikebanart
What started out as a decoration agency for events and marriages specialising in the Japanese arts of ikebana (flower arrangement) and kokedama (hanging gardens) is now a public workshop and boutique just next to the Canal Saint-Martin. Far from the a classic florist, the owners blend traditional flower design with contemporary art in all manner of clever yet understated works.The kokedamas – which are surreal-looking installations of various different-sized hanging pots of moss and soil, from which mini trees and plants sprout upwards – only require 5-10 minutes’ watering a week and will make great affordable presents for plant fans (€17-€97). Other compositions set in glass bowls are equally eye-catching (€61), while you can also get yourself mini cacti planted in mugs (€15) and various suspended agaves, aloes, ferns and orchids. For anyone aspiring to improve their decorative gardening skills, lessons in both flower arrangement (Thursdays and Sundays) and flower suspension (Wednesdays and Saturdays) are available each week at €40 for an hour and a half tutorial (materials and plants are included in the price).TRANSLATION: HUW OLIVER

Atelier Nota
This stylish family-run papeterie is a true haven for stationery and paper fans. The colourful, inventive stock ranges from resistant cardboard coasters adorned with the letters of the alphabet to all manner of brilliant creations from impressive Turkish brand Happily Ever Paper. With reams of foldout diaries, bags, pens, cards and notebooks on the shelves, you’ll be stuck for choice, although prices can be a bit silly (notebooks vary from €2-€55, fluorescent exercise books from Always/Never €20, postcards €4-€8). The shop also has a small exhibition space for illustrators and hosts interactive workshops for children on a number of themes such as video editing, edible decorations and Christmas.TRANSLATION: HUW OLIVER

Babel Concept Store
This high-end ‘concept store’ near the Canal Saint Martin brings together trendy new items from independent designers and a charming assortment of second-hand objects. With its painstakingly curated and imaginatively done out interior, the light and airy Babel has something of a cabinet of curiosities about it.On the shelves, you’ll find various eccentric printed t-shirts (€35-€60), Marseille soap, tote bags, new and second-hand jewellery, leather accessories, Art Deco crockery, religious emblems and flowery hats. For the ecologically minded, the shop also offers various soft, responsibly tanned Veloutine bags and luxury items from the French Faguo brand (for each bag bought, a tree is planted).TRANSLATION: HUW OLIVER

Bibi Idea Shop
Located on the bustling Rue de Bretagne, the Bibi Idea Shop offers a wonderful range of present-worthy gadgets, novelty ornaments and clothing for babies and small children. Spanning ‘retro’ working telephones (€72), colour-in dinner placemats, gaudy pompoms (€30), storage boxes shaped like Lego faces (from €21), old-fashioned polishing kits, hi-tech mug-heaters (€18) and startling rabbit-shaped night-lights, the boutique’s stock ranges from the incredibly useful to the outright useless. But none of it’s overpriced, and with reliable brands like April Eleven, My Little Day and House Doctor on the shelves, it’s certainly worth a quick look around if you’re in need of gifts for upcoming birthdays or celebrations.TRANSLATION: HUW OLIVER

Almare Toscana
Modern Italian leather accessories label Almare Toscana has already brought a slice of the dolce vita to cities like Shanghai, London and Vancouver, so Paris is a natural next move. Founded in 2013 by David-Alexandre Détilleux, the 100 percent made-in-Italy brand has set up shop in the third arrondissement, selling rucksacks, handbags, briefcases and other accessories mostly made from a mix of Santa Croce leather and stone-washed cotton (many also come ‘reinforced’ with waterproof Teflon). All pieces are available in a variety of Mediterranean shades including ochre, aqua green, rust, light blue and several Tuscan oranges. Everything is understated and yet stylish, but prices are steep: think €200-€400 for a bag, €90 for a wash bag, €175 for an iPad case and €55-€75 for a card holder.TRANSLATION: HUW OLIVER

La Mutinerie
This inclusive, multi-faceted bar – formerly known as ‘Unity’ – has become a staple of the Marais’s LGBTQ scene. The collective behind the bar have even written a charter directed against racism, transphobia and other damaging attitudes. With a brilliant programme of events stretching from yoga and self-defence classes to film screenings, and from live queer punk to Dominican bachata, the bar also functions as a library and space for visitors to put on their own events. Part grunge, part burlesque, part Caribbean in aesthetic, ‘La Mutinerie’ is open daily until 2am, making it perfect for a late-night party.TRANSLATION: HUW OLIVER