Articles (502)
Pro tips : comment imaginer des cocktails qui ont du nez, avec Jesus Ortega
Grâce à Jesus Ortega, vous pouvez boire le parfum de Kylie Minogue. Ou presque. Après avoir rencontré (et bien sentie !) la chanteuse, le bartender chouchou des classements mondiaux lui a rendu hommage à travers un cocktail : le Showgirl. S’il est devenu ambassadeur de London Essence, c’est certainement un peu pour son nez. Car avant de se spécialiser dans les mixers, la marque de tonics et sodas haut de gamme fût l’un des plus importants distillateurs d’essences naturelles au monde, à destination des parfumeurs. Depuis 2018, Jesus imagine avec eux des cocktails en forme de voyages olfactifs. À travers une riche discussion, entrecoupée de dégustations, il nous a révélé les secrets de ces créations, mettant en éveil nos cinq sens. En voici un aperçu. Salut Jesus. Tu es bartender et ambassadeur pour London Essence, avec qui tu partages un goût certain pour le parfum. Comment est-ce que ça se traduit dans ton travail ? Pour la grande majorité de mes créations, je me base sur un parfum réel, que ce soit le parfum de quelqu’un, ou celui d’un lieu. L’odeur de Kylie Minogue pour mon cocktail Showgirl, par exemple, où celle d’un ami très proche pour mon cocktail Carnal, qui signifie à la fois « charnel » et « frère ». C’est comme ça que je fonctionne : d’abord le nez, ensuite le goût. Je travaille comme un parfumeur, en tenant compte des différentes couches qui composeront ma création : les notes de tête (qui arrivent tout de suite), de cœur (qui se développent dans un deuxième t
Que faire à Paris ce week-end du 18 au 20 octobre 2024 ?
Les Parisiens l’attendent tel le (Leo) Messie. Tous les jeudis, les groupes d’amis échafaudent leurs plans d’attaque, entre nuits sans fin, expos à gogo ou restos tout chauds. Vous l’avez reconnu : le week-end est en approche ! Comme d’habitude, chez Time Out Paris, on a trié notre caddie de bons plans au tamis pour vous savoir quoi faire à Paris ce week-end du 18 au 20 octobre 2024 et avoir plein d’anecdotes à raconter lundi. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.
Que faire à Paris cette semaine du 14 octobre 2024 ?
Ce qu’on aime à Paris, c’est que chaque semaine, il y’a du nouveau à faire. Un bar où les cocktails coulent à flot, un petit bistro de quartier ou une expo pour remplir sa caisse à culture. Chez Time Out, on sait que vous n’avez pas toujours le temps de vous rencarder sur les bons plans parisiens. Ça tombe bien, nous, si. Voici un petit paquet d’idées pour savoir où sortir cette semaine du 14 octobre 2024 à Paris et ainsi donner du coffre à votre vie sociale. Cadeau. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.
A ne pas manquer aujourd'hui à Paris
Si votre médecin vous conseille de manger cinq fruits et légumes par jour, chez Time Out Paris, on vous fournit vos cinq bons plans quotidiens à ne pas manquer en ville. Avec, comme d’habitude, rien que la crème de la crème des sorties. De l'expo dont tout le monde parle au bistrot bien planqué en passant par le festival qui s'apprête à embraser une des nombreuses friches parisiennes… Tout, vous aurez tout pour être comblés aujourd'hui à Paris. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris. Cet article comprend des liens d'affiliation. Ces liens n'ont aucune influence sur notre contenu éditorial. Pour plus d'informations, cliquez ici.
Que faire à Paris en octobre 2024 ?
Ça y est, on vient de débouler dans la dernière ligne droite de l’année ! Si octobre, avec ses petits mouchoirs et son petit gris n’est pas le mois le plus happy, cette édition 2023 s’annonce particulièrement douce en termes de choses à faire. Point de révolution en vue (encore que), mais un dossier paré de bons plans pour vivre à fond ce début d’automne entre expos inratables, festival au chaud et restos tout nouveaux. Un dossier à consulter comme une ordonnance du médecin. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.
Les meilleurs bars pour danser à Paris
On peut avoir la flemme d’attendre 3h du matin que l’ambiance prenne, la flemme de banquer pour une entrée et des verres inflationnistes… Bref, on peut avoir la flemme d’aller en club, mais quand même très envie de se la donner sur la piste. Alors où aller danser à Paris ? Les bars qui invitent des DJ et ménagent une piste pour éliminer les demis à base de grands trémoussements de la hanche (qui est une articulation, ne l’oublions pas) apparaissent comme l’alternative idéale. Ils ouvrent et ferment tôt (on peut être en feu dès 22h et couché à 2h !), ils sont souvent moins chers et plus mélangés. On vous a donc sélectionné nos quatorze adresses favorites, où la playlist est aussi diverse que la faune qui hante le comptoir – et c’est ça qu’on aime. Et si finalement vous êtes encore chaud patate à 2h du mat’, vous pouvez toujours continuer en club !
3 artistes à découvrir lors de l’exposition “Orbis Tertius” durant Art Basel Paris
Érigée comme nouvelle capitale touristique de l’Arabie saoudite, la ville-oasis d’AlUla et ses vestiges millénaires a vu défiler nombre d’artistes ces dernières années. Alors qu’Art Basel Paris se profile, l’exposition Orbis Tertius raconte cette nouvelle destination culturelle de manière surréaliste à travers le regard des artistes partis en résidence dans la région. Dans l’esprit du monde de Tlön de Jorge Luis Borges dans ses Fictions, un monde imaginaire créé par des intellectuels où chaque œuvre d’art exprime une émotion ou une idée philosophique, les 43 œuvres disséminées sur les quatre étages dans le Marais (peintures, sculptures, installations…) expriment chacune une facette d’AlUla. Voici trois artistes de l’exposition qui ont retenu notre attention. Monira Al Qadiri A AlUla, l’artiste koweïtienne Monira Al Qadiri installée à Berlin est sortie de l’oasis pour se balader dans le désert. Là, cette artiste, qui illustre les développements de la région du Golfe par ses installations, s’est intéressée à la Calotropis procera, une plante symbolique de la région capable de vivre sans eau pendant trois ans, et dont la sève peut rendre aveugle si elle vous touche l’œil. En accompagnant sa plante-sculpture d’une vidéo un peu flippante avec des présences surnaturelles, elle nous pousse à réfléchir à l’aveuglement de notre société. Daniah Alsaleh Où sont les femmes dans les récits millénaires de l’antiquité saoudienne ? Invisibles, a constaté la Saoudienne Daniah Alsaleh,
3 bonnes raisons d’aller découvrir l'exposition de la Collection Al Thani
Totalement restauré comme au XVIIIe quand il abritait le Garde-meuble royal, l’Hôtel de la Marine, rouvert au public en 2021, a invité d’entrée l’opulente Collection Al Thani, qui concentre une foule d’objets et œuvres d’art allant du Néolithique à nos jours, dans un espace dédié. En cette rentrée, une nouvelle expo temporaire va l’explorer sur le thème de la couleur, La couleur parle toutes les langues. Œuvres choisies de la Collection Al Thani, qui se tient jusqu’au 5 octobre 2025. On vous donne trois bonnes raisons d’aller l’admirer. Redécouvrir les couleurs à travers leurs pouvoirs L’exposition reconstitue une petite histoire culturelle de la couleur à travers les objets d’art. Objets sacrés ou rituels, pièces d’arts décoratifs du monde entier, artefacts inuits ou vestiges naturels, les 80 œuvres de la Collection Al Thani se répartissent en six groupes chromatiques : le noir, le blanc, le jaune, le rouge, le bleu et le vert. On y apprend ce que chacune représente au gré des âges et des peuples, quels pouvoirs elles renferment parfois, et les mythes qui y sont associés, entre un mangeur de lune tibétain, des dents de jaguar en jade, ou une légendaire courtisane des enfers… Approcher des objets millénaires venus d’autres mondes Mieux que la Fashion Week, la fashion inuit : dans l’espace consacré au blanc, on trouve une couverture inuite en duvet de canard ! Il y a aussi des lunettes de neige en ivoire de morse, utilisées par les Yupiks en Alaska dès le XVIIIe siè
Bumble organise deux soirées secrètes pour des célibataires à la cool durant les jeux
Paris se remplit, la température a fini par monter et vous êtes encore solo ? Pas pleurer : on sait exactement où vous allez trouver votre prochain duel au soleil. Ou au pire passer une vraie bonne soirée – loin, très loin, de ce dernier date foireux. Les mardis 30 juillet et 6 août prochains, Bumble relance ses “Nuits à Paris”. Pas d’angoisse : il ne s’agit ni d’un speed dating, ni d’un date à l’aveugle. Vous viendrez juste faire la fête avec d’autres célibataires, dans une soirée qui ressemble à s’y méprendre à vos meilleures teufs d'appart – mais avec 250 personnes ! Donc, que vous rencontriez quelqu’un ou non, c’est zéro pression : l’idée est de vous faire kiffer. Pour ça, l’appli s’occupe de la bouffe, du bar, des DJ et bien sûr de faciliter le contact. Vous, vous avez juste à enfiler votre outfit porte bonheur – et réviser un peu d’anglais, toujours utile en période olympique.Un lieu coup de cœur en plein ParisLe lieu est bien sûr tenu secret pour plus d’excitation, mais comme on a été mis au parfum, on peut déjà vous annoncer que vous serez au moins séduit par le spot ce soir-là. Un petit teasing ? Sachez qu’on y voit la nature à travers les fenêtres sans pour autant quitter Paris. Un genre de maison de campagne préservé, à l’abri des regards, avec moult ouvertures sur l’extérieur. Romantchique à souhait. C’est quoi les bails ? Pour avoir une chance d’y accéder, il vous faudra dégainer Bumble et matcher… mais pas avec n’importe qui. Pour l’occasion, l’appli où les fem
Quatre bonnes raisons de ne pas manquer le Festival de la francophonie
321 millions de locuteurs sur cinq continents : le français peut-il encore relier un monde qui semble se fracturer ? C’est l’espoir de cette XIXe édition du Sommet de la Francophonie qui se tient à Paris (ainsi qu’à Villers-Cotterêts et partout en France) les 4 et 5 octobre. En parallèle, le Festival de la francophonie, intitulé « Refaire le monde », déploie une programmation (gratuite !) autour des cultures francophones du 2 au 6 octobre dans plusieurs lieux de la capitale : la Gaîté Lyrique sera le cœur battant de l’événement, entre librairie éphémère, concerts, projections, rencontres avec des écrivains, débats, ateliers de langues rares ou de pratiques culturelles. Le CENQUATRE-PARIS se métamorphose quant à lui en grand Village de la francophonie où découvrir une programmation de danse, théâtre, concerts ou cinéma proposée par les pays francophones pour les petits et les plus grands. Et STATION F accueillera FrancoTech, le salon des innovations en français, les 3 et 4 octobre. On vous explique ce qu’il ne faudra surtout pas manquer ! Voir des films primés gratuitement Le cinéma est sans conteste le meilleur ambassadeur de la francophonie à travers le monde. La programmation lui a donc réservé une place de choix avec quelques exclusivités en partenariat avec des festivals spécialisés comme Cinémania, Angoulême ou La Rochelle. Au programme, des films belges, québécois ou congolais (le Kanaval vaudou de Henri Pardo ou encore le chevalin LADS de Julien Menanteau) projetés
Les meilleures librairies de bande dessinée à Paris
Time Out a fait un petit tour des librairies de bande dessinée parisiennes. Si l'on n'a pas délaissé les enseignes généralistes, cette petite sélection non exhaustive tend plutôt à cerner les adresses en phase avec la BD d'aujourd'hui. Plus que les librairies classiques, on trouvera ici des lieux vivants, souvent mi-librairies mi-galeries, qui défendent la jeune création et qui sont tenus par des personnalités marquantes qui savent incarner leur vision d'une bande dessinée dynamique et audacieuse. Pour celles et ceux qui ont un faible pour l'art, découvrez notre dossier des librairies d'art.
Les meilleures expositions peinture du moment à Paris
Vous êtes plutôt installation, design, art numérique, sculpture ou, que sais-je, photographie ? C’est par ici que ça se passe. En revanche, si vous cherchez une exposition pour faire exploser vos rétines avec une bonne dose de couleurs, détendez-vous, prenez un café, vous avez atterri au bon endroit. Time Out Paris vous a sélectionné, le temps d’un dossier et de quelques scrolls, les meilleures expos peinture à Paris. Promis, il y en aura pour tous les goûts !
Listings and reviews (334)
Maison Européenne de la Photographie
Voici probablement l’un des meilleurs espaces parisiens dédiés à la photographie. Le site de la MEP présente en effet des photographes émergents aux côtés de rétrospectives de grands noms de la discipline comme Larry Clark, Joel Meyerowitz ou Martin Parr. Chaque année, la MEP accroche également sur ses murs des œuvres issues de son propre fonds, très riche. Ainsi, ce sont une dizaine d'expositions monographiques qui viennent, annuellement, ravir le coeur et les prunelles des amateurs de photo. Et pour les vrais passionnés pour qui un accrochage, même magnifique, ne suffirait pas, la bibliothèque de la MEP vaut elle aussi le détour, avec son lot d'ouvrages rares, de premières éditions et de monographies éditées par des galeries. Initiée par les fondateurs de l'association Paris Audiovisuel (Henry Chapier, président de la MEP, ainsi que Jean-Luc Monterosso, Marcel Landowski et Francis Balagna), la MEP s'inscrit donc comme l'un des piliers du huitième art à Paris.
Boule Noire
Si les aficionados de Motus en ont une peur bleue, les mélomanes parisiens y ont leur rond de serviette. Et pourtant, planquée au pied de la Cigale, la Boule Noire passerait presque inaperçue. Une discrète petite porte indique néanmoins son existence et ceux qui la connaissent savent la trouver. Avec ses presque deux siècles à l'état civil, la salle de concerts en aura connu des belles. Après une période goguette au XIXe siècle, salle de danse ensuite, puis cabaret et cinéma, elle se convertit au rock dans les années 1990, accueillant des groupes pour leur première scène à Paris (Franz Ferdinand, Phoenix) et des artistes confirmés souhaitant retrouver l'intimité moite de leur jeunesse le temps d'un concert (Metallica, Queens Of The Stone Age…). Avec une nouvelle équipe de programmation en 2019, suivie par l'arrivé de Laure Togola en septembre 2023, la salle a trouvé la trace de la fontaine de jouvence. Au programme : les meilleurs groupes de rock indé internationaux, toutes factions stylistiques confondues, des soirées hip-hop plus que bien senties et des touches électroniques. Autant dire que même Thierry Beccaro risque de ramener son boule.
Stade nautique olympique d'Île-de-France
Sortez les Oxbow, faites péter les palmes et remplissez les bouteilles d’eau : tous les feux sont au vert pour aller barboter au lac de Vaires. A une trentaine de minutes de Paname, le plus grand spot nautique d’Île-de-France a de quoi faire rougir Paris Plage et sa Seine pleine de canettes et trottinettes momifiées. Sur l’île de loisirs de Vaires-Torcy, une immense étendue de sable fin vous attend pour disputer vos meilleures parties de beach-volley ou taper vos meilleures siestes arrosées de monoï (ou de crème SPF 50+), avant d’aller tremper vos jolies guiboles dans les eaux claires du lac de Vaires. Un stade nautique de compétition Mais le vrai kiff de l’île, c’est son versant sportif, qui se décline en une foultitude d’activités nautiques et terrestres. Dans les 350 hectares de la base en pleine nature, on compte pas moins de quatre courts de tennis, un golfe et un centre équestre. Sur l’eau, vous pourrez – au choix – vous laisser tenter par du stand up paddle, du rafting, du canoë-kayak, de l’aviron, du catamaran ou de la planche à voile. Une offre pléthorique sans pareille, qui explique le choix des équipes de Paris 2024 d’y installer une partie des épreuves des Jeux olympiques. Site officiel de Paris 2024 Ouvert en 2019, le stade nautique de Vaires-sur-Marne a été le premier équipement sportif à être livré pour les JO 2024. Juste à côté de l’île de loisirs, le stade s’étend sur 200 hectares et pourra accueillir jusqu’à 24 000 spectateurs. En son sein, un bassin d’e
Arena Paris Sud
Loin de la vie de château et du faste de son cousin des Yvelines, la porte de Versailles est un poil moins sexy que Kirsten Dunst en Marie-Antoinette. Et si l’on s’aventure parfois du côté de son parc des expos, c’est essentiellement pour caresser des vaches, nourrir des petites cochonnes (on ne parle pas ici de la femme de Jean Lassalle) et vider des litres de bière, à l’occasion (notamment) du Salon de l’agriculture qui s’y tient chaque année. Construite en 1923 pour accueillir la Foire de Paris (qui s’y tient encore aujourd’hui), l’infrastructure tentaculaire désormais centenaire s’est offert une nouvelle jeunesse en amont des Jeux olympiques, avec d’importants travaux de rénovation. Et avec un Mama Shelter tout neuf en plein dans le parc + un énième Perchoir posé sur le toit d’un des halls d’expo, le spot commencerait presque à souffler un vent cool sur le quartier (on a dit presque). Que faire aux alentours ? Parce qu’on a promis qu’on arrêtait de dire des méchancetés sur le 15e, on s’est démené pour vous trouver tout un tas de choses à faire (et à manger) autour de Paris Expo. Allons-y tout de go.Pour commencer, direction la rue Olivier-de-Serres, à deux pas de Paris Expo, où se terre l’un des meilleurs restos libanais jamais testés : Les Mots et le Ciel. Pour le dîner, on va chez Guillaume Grasso, goûter à ses “vraies pizzas napolitaines” – qui font partie de nos préférées. Pour un date un peu plus distingué, la table italienne de Cyril Lignac, Ischia, est une valeur
Djoon
Le Djoon est un club qui semble débarqué de la Grosse Pomme : immense loft sur deux étages, baie vitrée donnant sur le quai de la Gare près de la BnF, décor sophistiqué : ici la place ne manque pas. Les spécialités de la maison ? Les beats groovy (funk, hip-hop, soul), house et deep house, et un mélange des deux : funky-house, nu soul. Tous les DJs de Détroit, Chicago, Berlin, New York et Londres sont venus mixés leurs meilleures galettes depuis l'ouverture en 2003. Des noms passés ces dernières années ? Louie Vega, Theo Parrish, Deetron, Tony Humphries, Culoe De Song, DJ Spinna… Bref, une adresse repaire pour les fadas de black music et de house.
Jardin de l'hôtel de Sens
Situé dans la cour de l'hôtel de Sens, il offre une vue imprenable sur ce magnifique édifice, l'un des plus anciens de Paris construit en 1475 pour l'évêque de cette ville, tout près des quais de Seine. Son architecture mêle formes gothiques du Moyen Age et finesse du style Renaissance, avec ses pignons, ses tourelles à encorbellement et ses grandes lucarnes. C'est ici que vécut la reine Margot, femme d'Henri IV, au début du XVIIe siècle, qui y organisait des fêtes galantes. Le pignon, adossé à la tourelle de gauche, a gardé trace de l’obus qu’il a reçu lors de l’attaque de la caserne Ave Maria en 1830. L'hôtel abrite depuis 1961 la bibliothèque municipale Forney, spécialisée dans les beaux-arts, les arts décoratifs et graphiques, l'artisanat et les techniques. Bordé par quelques bancs, il compte en son centre un labyrinthe de petites haies taillées dans l'esprit des jardins à la française du XVIIe siècle, avec ses formes géométriques bien nettes, même s'il n'a été aménagé que dans les années 1950.
Jardin de l'hôtel de Sully
C’est un de ces couloirs magiques qu’on adore à Paris : un moment, vous êtes dans la bouillonnante rue Saint-Antoine, et, abracadabra, via le jardin de l’hôtel de Sully, vous voilà dans la bien plus reposante place des Vosges ! Tracé au XVIIe siècle, ce jardin s’articule autour de quatre pelouses cerclées de buis tout neufs, avec une orangerie, tout ça surmonté du bâtiment des Centre des monuments nationaux. Bien plus qu’un endroit où se poser – il n’y a que quelques bancs vite complets –, c’est cet aspect deux rues/deux ambiances qui fait le cachet de ce carré vert.
Jardin des Archives nationales
Quelle bonne surprise que l'ouverture au public des jardins des Archives nationales depuis 2011 ! Réduit à une simple cour devant l'édifice, le jardin s'étend désormais sur toute sa longueur, suivant de petites alcôves vertes intimistes magnifiques et très agréables, le long d'hôtels particuliers, avant de s'ouvrir sur une vaste cour. Le « quadrilatère parisien », revisité par le paysagiste Louis Benech, est un secret bien gardé.Jardin de l'hôtel de Rohan. Le plus spectaculaire des jardins est majestueux, centré sur la façade de cet hôtel particulier construit en 1705. Armand-Gaston-Maximilien de Rohan, fils de la princesse de Soubise et cardinal de Rohan, le fit construire sur un terrain contigu à l'hôtel de Soubise, occupé par ses parents. Racheté par Napoléon Ier en 1808, il devint le siège de l'Imprimerie nationale. Rénové en 2008, le jardin compte une vaste pelouse à la française, idéale pour pique-niquer, bordée de nombreux bancs et de deux allées de platanes. On y accède par la rue des Quatre-Fils. Jardin des hôtels d'Assy et de Breteuil. Caractéristiques des petits jardins de ville en vogue sous la monarchie de Juillet et du Second Empire, ils sont aujourd'hui un havre de paix et de verdure pour bouquiner, s'étendre dans l'herbe ou se bécoter, car l'endroit est très romantique, juste devant les fenêtres des hôtels particuliers du domaine. Une petite rivière est aménagée avec des rocailles et des fougères. Un marronnier d’Inde, sujet unique à Paris, est planté aux côté
Place des Vosges ou Square Louis XIII
Affalé sur les pelouses près d’une fontaine ou avachi sur un banc au pied de la statue de Louis XIII, on respire sur la place des Vosges comme un parfum d’antan. Loin de la splendeur pompeuse d’Haussmann, ce square du XVIIe siècle, tout en arcades et en briques rouges, sert de repaire aux flâneurs du Marais, à l'affût d'un coin de verdure... La première place planifiée a été commandée par Henri IV en 1605 et inaugurée par son fils Louis XIII en 1612. Avec ses harmonieuses façades à arcades de briques rouges et ses toits pointus en ardoise, elle se différencie du style auquel les Bourbons avaient habitué la capitale. Elle s’étend symétriquement avec des entrées pour les calèches par le pavillon de la Reine au nord et le pavillon du Roi au sud. Les autres bâtisses ont été vendues en concession aux personnages officiels et aux nobles (certaines façades ne sont d’ailleurs qu’en imitation de brique). Elle est baptisée place Royale avant les guerres napoléoniennes. En 1800, Napoléon lui donna le nom du premier département à s'être acquitté de ses impôts. Presque tous les pavillons possèdent une riche histoire. L’hôtel de Coulanges vit naître la future marquise de Sévigné en 1626. L’écrivain Victor Hugo habita au deuxième étage de l’hôtel Rohan-Guéméné de 1832 à 1848. Un musée lui est consacré au même endroit.
Parc de Bagatelle
Pastille rose sur le parc de Bagatelle. Construit en 64 jours par 900 ouvriers suite à un pari entre Marie-Antoinette et le comte d’Artois – l’Inspection du travail n’a pas bronché –, le parc de Bagatelle (et son château) frime aujourd’hui mondialement avec sa collection de 10 000 rosiers issus de 1 200 variétés, à venir voir absolument pendant les périodes de floraison (d’avril à octobre selon les variétés) pour une ambiance de tableau impressionniste IRL. Bagatelle héberge bien d’autres perles botaniques et architecturales (cette pagode chinoise) au milieu desquelles on peut s’ébrouer sur les pelouses, et même être réveillé par des paons pas farouches.
Parc Clichy-Batignolles - Martin-Luther-King
Dernier espace vert parisien à avoir germé, le parc Martin-Luther-King a déjà tout d’un (très) grand ! Si sa première parcelle a ouvert en 2007, c’est en 2021 qu’il se déploie entièrement sur une surface de 10 hectares et une liste de choses à faire et à voir longue comme le casier judiciaire du RPR : des centaines d’espèces de végétaux et les innombrables pièces d’eau, cascades et fossés humides ; cette plage verte pour profiter du soleil ; une pelletée de playgrounds pour s’exercer ; et HoBa, ce mini-food court en hauteur ouvert par les créateurs du Hasard Ludique, parfait pour boire un canon.
Jardin d'acclimatation
Avec le Jardin d'acclimatation, nous voici devant le plus ancien parc de loisirs français. Créé sous Napoléon III en 1860, ce parc de 18 hectares situé en plein bois de Boulogne a d'abord eu comme objectif de « favoriser l’introduction, l’adaptation et la domestication d’espèces animales ». D'où le nom. Puis, très vite, le lieu a été associé aux sorties parisiennes avec l'apparition d’une foultitude d’attractions, des classiques manèges aux terribles exhibitions ethniques. Toisé par la Fondation Louis Vuitton dessinée par Frank Gehry, il est le parc le plus kid-friendly de Paris. Entièrement rénové en 2017, le Jardin d'acclimatation est l’eldorado pour les parents en galère d’idées pour régaler leurs petits. Au menu ? Dix-huit hectares de promenades avec une quarantaine d’activités proposées selon des tranches d'âge. Avec, en vrac, une tyrolienne, un parcours acrobatique, des manèges en tout genre dont le mythique petit train, en place depuis 1878, et qui relie le jardin à la porte Maillot. Côté faune et flore, on retrouve près de 450 animaux, une grande volière, la ferme pédagogique Saint-Hilaire avec chèvres naines et alpagas. De quoi rendre gaga vos enfants.
News (786)
Au Jeu de Paume, l’expo Tina Barney est l’un des événements photo les plus attendus de cette rentrée
Pointure de la péloche en vue ! A l’occasion de sa réouverture post-olympique et de ses 20 ans, le Jeu de Paume s’apprête, du 28 septembre au 19 janvier, à célébrer l’iconique photographe américaine Tina Barney avec une expo panoramique – la plus maousse jamais réalisée sur le Vieux Continent – qui retrace plus de 40 ans de création, intitulée Family Ties. Des portraits à la composition assez prodigieuse Une carrière durant laquelle la New-Yorkaise a mis en scène avec finesse et recul les relations familiales, tirant des portraits à la composition assez prodigieuse des classes aisées des Etats-Unis des années 70-80. Des faux instantanés aux doux accents d’Amour, gloire et beauté et aux tonalités pastel délicieusement rétro. Un autre pan Barney sera aussi présenté avec ses photos pour des magazines, aussi bien de mode, de luxe que people. Pour retranscrire toute sa palette, le Jeu de Paume a fait le choix de présenter 55 clichés en très grand format, entre noir et blanc, couleur, plans célèbres ou clichés inédits. De quoi rendre hommage comme il faut à cette grand dame de la photo américaine. Pour découvrir nos dossiers des expos de la rentrée, c'est ici. Quand ? du 28 septembre 2024 au 19 janvier 2025.Où ? Jeu de Paume, 1 place de la Concorde, Paris 8e. Acheter un billet Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Jeu de Paume (@jeudepaumeparis)
Au musée Picasso, une expo centrée sur les premières années de Jackson Pollock, le père de l’expressionnisme abstrait
Jackson Pollock au musée Picasso, étrange association à première vue, et pourtant… Car avant le dripping et l’action painting, Jackson Pollock peignait déjà et se passionnait pour l’art primitif, le cubisme ou les muralistes mexicains. Une période d’œuvres surréalistes et puissantes mais moins connues du grand public que cette expo Jackson Pollock. Les premières années (1934-1947), prévue du 15 octobre au 19 janvier, veut mettre en pleins phares. Plus de 100 œuvres présentées Avec l’idée de balayer toutes les facettes de cette période pré-expressionnisme, l’institution du Marais accueillera une centaine d’œuvres provenant du Museum of Modern Art et du MET de New York, du Centre Pompidou, de la Tate ou encore du Stedelijk Museum. On y zieutera des peintures, sculptures et gravures qui rappellent sa fascination pour l’œuvre de Picasso – notamment de Guernica – à la fin des années 1940 ; son inspiration puisée dans les œuvres des Amérindiens et les masques mexicains ; ou son envoûtement devant les pièces surréalistes. Pour accompagner et questionner les œuvres de Pollock, le musée Picasso disséminera au fil du parcours des œuvres de ses différentes inspirations comme le surréaliste André Masson, l'expressionniste Janet Sobel et le tenancier Pablo Picasso. La boucle est bouclée. Quand ? du 15 octobre 2024 au 19 janvier 2025.Où ? musée Picasso, 5 rue de Thorigny, Paris 3e. Acheter un billet Pour découvrir les expositions peinture les plus attendues de la rentrée 2024, c'est ici
La SNCF va programmer des spectacles de stand-up dans ses trains avec Baptiste Lecaplain pour la première
MDR la SNCF. Peut-être pour compenser les pleurs des voyageurs face au retard (et prix) des trains, la compagnie ferroviaire publique va monter dans le wagon de la rigolade en ouvrant à partir de 2025, et seulement dans certains trains, son “TGV Inoui Comedy Club”. L’idée ? Lors de certains trajets, la SNCF invitera un humoriste à se produire dans le wagon-bar, pour l’occasion entièrement relifté en scène de stand-up. Histoire de roder le délire, la compagnie va organiser une date test (réservée à la presse et aux invités) le 17 octobre sur le tronçon Paris-Lille, avec Baptiste Lecaplain en premier invité. Si le Bordelais fait suffisamment rire les gens, le dispositif sera étendu au public. De quoi faire l’ombre à l’escape game de son concurrent Trenitalia ?
Pour Halloween, le musée Rodin ouvre la Porte de l’Enfer le temps d’une soirée
Les sculptures du musée Rodin hurlent déjà de terreur (littéralement dans le cas du Cri ou de L'Épouvante). Pour Halloween, le musée va de nouveau se transformer en maison hantée le temps d’une soirée sobrement intitulée “Bienvenue en Enfer”. De 19h à 23h, le 31 octobre, un aréopage de danseurs, conteurs et autres créatures imagineront moult créations pour animer la fameuse Porte de l’Enfer. Théâtre, danse et conte Parmi les intervenants, le musée s’appuiera notamment sur les membres de la compagnie de théâtre La Petite Main, lesquels imagineront une expérience immersive au milieu des statues dans le sous-bois et une performance théâtrale autour de La Divine Comédie de Dante, dont les vers ont été l’un des socles de réflexion de Rodin pour buriner sa Porte des Enfers. Il y aura également de la danse avec la compagnie Unity non loin du bassin d’Ugolin, du conte ou un atelier dédié à la photo argentique avec l’artiste Alexandra Serrano. “Attention, les plus jeunes pourraient être effrayés par l'intensité de la mise en scène”, peut-on lire sur le site du musée. OK bouhmeur : il n’en fallait pas plus pour nous convaincre de choper un ticket. Où ? au musée Rodin, Paris 7e.Quand ? différents créneaux entre 19h et 23h, le 31 octobre 2024.Combien ? 15 € - 27 € (ouverture de la billetterie le vendredi 11 octobre). Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Musée Rodin (@museerodinparis)
Une expo sur l’arte povera s’apprête à faire la révolution à la Bourse de Commerce
Pour clôturer son année en fanfare, la Bourse de Commerce célèbre un mouvement artistique qui a mis un singulier coup de botte dans l’histoire de l’art. Du 9 octobre 2024 au 20 janvier 2025, l’arène dessinée par Tadao Ando sera secouée par une rétrospective sur l’arte povera, ce courant artistique apparu en Italie au milieu des années 1960. Plus de 250 créations iconiques et d’aujourd’hui Pour celles et ceux qui ont séché le cours d’art plastique sur le sujet, l’arte povera s’est positionné en détracteur de la société de consommation, devenant rapidement le mouvement anti-pop art – qui sera, lui, honoré à la Fondation Louis Vuitton –, préférant les matériaux naturels ou de récupération à l’ostentation américaine. Le commissariat de l’expo, assuré par la grande théoricienne du mouvement Carolyn Christov-Bakargiev, alignera plus de 250 créations iconiques et d’aujourd’hui, avec comme fil d’Ariane une célébration des icônes du mouvement : Giovanni Anselmo, Alighiero Boetti, Pier Paolo Calzolari, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Mario Merz, Marisa Merz, Giulio Paolini, Pino Pascali, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto, Emilio Prini et Gilberto Zorio. Lesquels seront mis en miroir avec leurs refs à eux mais aussi avec leurs descendants. Attendez-vous à une riche expo pour l’arte povera ! Quand ? du 9 octobre 2024 au 20 janvier 2025.Où ? Bourse de Commerce, 2 rue de Viarmes, Paris 1er. Acheter un billet Pour découvrir notre dossier dédié aux plus grandes expos de la ren
Dua Lipa sera de passage à Paris à l’occasion de sa tournée mondiale
Hip hip hourra pour Dua Lipa ! Dans le sillage de premières dates estivales triomphales, la nouvelle prophétesse de la pop a ajouté une salve de concerts à son Radical Optimism Tour. Et la France est gâtée avec trois escales : deux à Lyon les 15 et 16 mai et surtout une halte parisienne le 23 mai à Paris La Défense Arena. L’occasion pour l’artiste de présenter tout en grandiloquence son album Radical Optimism, porté par “Houdini”, ce rebondissant tube LV2 disco produit par Kevin Parker de Tame Impala. Mise en vente des tickets le 17 septembre à 10h, échauffez-vous les doigts d’ici là et bonne chance ! Quand ? Vendredi 23 mai 2025.Où ? 99 Jardin de l'Arche, 92 000 Nanterre Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par DUA LIPA (@dualipa) Pour découvrir notre dossier des salles de concerts à Paris, c'est par ici.
La star de l’art contemporain Takashi Murakami revient avec une nouvelle expo gratuite
L’une des plus grandes cotes de l’art contemporain est de retour dans la capitale. Dix-huit mois après avoir recouvert la galerie Gagosian du Bourget de fresques démesurées (notre interview réalisée à cette occasion), l’artiste nippon Takashi Murakami déboule du 15 octobre au 23 novembre avec une toute nouvelle expo perso gratuite, cette fois-ci à galerie Perrotin rue Matignon. Pieuvre, autoportrait et pandas sous LSD Une rétrospective qui célébrera à nouveau les motifs phares de la galaxie Murakami, peuplée d’avatars aux teintes pastel psychotropées, pour une ambiance à la fois futuriste et kitsch. Sur les cimaises, on croisera aussi bien sa fameuse pieuvre, présentée en famille, ses pandas sous LSD, un autoportrait le représentant avec son doggo disparu qu’une toile arc-en-ciel plus abstraite. Bonne perche ! Quand ? Du 15 octobre au 23 novembre 2024.Où ? 2 bis avenue Matignon, Paris 8e.Combien ? Gratuit. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Perrotin Gallery (@perrotin)
Au château de Versailles, découvrez une incroyable broderie de 107 mètres tissée par Eva Jospin
Cet été 2024 signe le retour des grosses expositions contemporaines à Versailles. Connue pour avoir abrité quelques-unes des expos les plus subversives de la décennie passée (Anish Kapoor, Joana Vasconcelos, Jeff Koons…), l’ex-T2 du Roi-Soleil accueille jusqu’au 29 septembre Eva Jospin, qui investira l’orangerie du château avec une broderie monumentale de 350 mètres carrés et 107 mètres de long ! Inspirée du manifeste féministe de Virginia Woolf Initialement pensée pour le défilé Dior automne-hiver 2021-2022, cette œuvre intitulée Une Chambre de soie a été réalisée en collab avec la Chanakya School of Craft à Mumbai. Partant d’un dessin à l’encre noir d’Eva Jospin s’inspirant autant du manifeste féministe de Virginia Woolf que de salle aux Broderies d’inspiration indienne du palais Colonna romain, les artisans ont tissé la créa à base de « 400 nuances colorées d’écheveaux de soie, de coton et de jute ». Dingo. © Camille Lemonnier Et si cette Chambre à soie a déjà été mise à nu, cette version versaillaise se distingue par deux nouveautés : tout d’abord, l’ajout de deux lés reprenant les bosquets des jardins de Versailles dont celui d'Apollon ; et alors qu’elle avait été disposée en U sur le podium Dior, l’œuvre sera cette fois-ci visible en linéaire dans l’orangerie. Une véritable invitation à la flânerie qui montre une nouvelle fois toute l’étendue du talent d’Eva Jospin et qui fera probablement un carton. Quand ? du 18 juin au 29 septembre 2024.Où ? château de Versaill
Première mondiale : une chambre d’hôtel installée dans les tribunes du Parc des Princes
Chambre avec vue, version ultra parisien. Dans le sillage d’un début de saison beau comme un contrôle de Ronnie, et alors que la coupe aux grandes oreilles – l’objectif ultime – étrenne sa nouvelle formule, le PSG a dévoilé une première mondiale en collab avec Novotel et All : une chambre d’hôtel installée à l’année – pour deux ans pour le moment – sous le toit du Parc, avec une vue parfaitement dégagée sur la pelouse. Question terrain de jeu, « La Suite Novotel par ALL.com » frime avec ses 20 mètres carrés comprenant lit, salle de bains et terrasse privée, carénée selon les codes du concept Hypothesis de Novotel mixant ultra-fonctionnalité et confort. Mais au-delà de la chambre, c’est une expérience grand luxe qui est proposée, avant, pendant et après le match. Suivre depuis la terrasse ou... le lit ! Si vous avez la chance d’avoir booké la chambre (les modalités, prix et dates sont encore à définir), vous serez accueilli au Novotel Suresnes par un majordome qui vous conduira jusqu’au stade puis à votre suite, en passant par le couloir des joueurs – rien que ça. Une fois le coup d’envoi donné, vous pourrez suivre la partie depuis la terrasse ou directement dans le plumard, avec un dîner (à la carte, bagel chèvre ou burger au comté) qui vous sera déposé par votre majordome. Un conseil : puisqu’on est dans la thématique hôtelière, mettez-vous au lit et laissez-vous (dé)border par Ousmane Dembélé ! © Andrea Montano Après le match – c’est sans doute la partie la plus singuliè
Pour le retour de la Ligue des Champions, le PSG dévoile une série d’affiches réalisée en collab avec une top école d’art
Comme à chaque début de saison, le plan du PSG est le même : tout gagner, avec comme but ultime la Ligue des champions. Et alors qu’il entre ce mercredi soir dans l’arène de la Coupe aux grandes oreilles nouvelle formule contre Gérone, le club a voulu marquer les pupilles en dévoilant une collab irisante avec Penninghen, l'une des écoles d’architecture et d’art visuel les plus cotées de la capitale. Reprise des symboles des villes affrontées Le résultat ? Une série de 8 affiches – une pour chaque match de poule – croquées par les étudiants de l’école, qui, chacune, reprennent des symboles de la ville affrontée. On y découvre les blasons détournés de l’Atletico Madrid ou du Bayern Munich, ainsi que des notes sur une partition honorant Salzbourg, ville natale de Mozart. Reste plus qu’à être sur l’affiche de la finale maintenant. © Penninghen © Penninghen
Le musée du Louvre va présenter la première expo mode de son histoire
Avoir 231 ans et faire sa première fois. Dans un papier sorti mi-août par le média de mode américain WWD, on a appris que le musée du Louvre allait héberger, du 24 janvier au 21 juillet 2025, pour la toutoute première fois de son histoire, une exposition entièrement consacrée à la galaxie de la mode. 65 tenues et 30 accessoires D’après les premières infos collectées par WWD, cette rétrospective sera tricotée par Olivier Gabet, dirlo du département des Objets d’art du Louvre, et Nathalie Crinière, derrière une tripotée de scénos d’expos modeuses. Lesquels ont annoncé vouloir questionner l’influence des musées et de leurs collections sur les créateurs. Le vestiaire, qui dialoguera donc avec les œuvres du Louvre, devrait être composé de 65 tenues et 30 accessoires haute couture avec, à la volée, des créations Chanel de Karl Lagerfeld – grand arpenteur du Louvre –, ainsi que des pièces griffées Yohji Yamamoto, Dolce & Gabbana, et un focus sur Marie-Louise Carven, “la couturières des petites dames”. Fa-fa-fashion ! Quand ? du 24 janvier au 21 juillet 2025.Où ? musée du Louvre, rue de Rivoli, Paris 1er. Acheter un billet
A la fin du mois, Jacquemus imagine une installation pour la Fête des puces de Saint-Ouen
Jacquepuces. Dans le cadre de la Fête annuelle des puces de Saint-Ouen prévue le 26 septembre à partir de 19h – en pleine Fashion Week –, le marché a décidé de confier le parrainage de l’événement à Simon Porte Jacquemus. Une installation inédite Le couturier, habitué des allées des puces et du brocantage – il n’est pas rare de voir ses dernières trouvailles postées sur son compte Insta –, aura carte blanche et dévoilera une installation inédite réalisée avec des objets chinés dans les 1 200 échoppes du plus grand marché d’antiquités du monde. Pour le moment, seul le mood board du couturier a été divulgué avec des « œuvres Memphis, des sculptures en plâtre, des fauteuils cubistes, des miroirs Mourgue et des torses romains ». Reste à voir le résultat. Quand ? jeudi 26 septembre 2024, à 19h.Où ? Puces de Saint-Ouen, 11 rue des Rosiers, 93400 Saint-Ouen-sur-Seine Pour découvrir notre dossier des galeries design à Paris, c'est par là. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Marché aux Puces de Saint-Ouen (@pucesdesaintouenparis)