Vincent Pflieger

Vincent Pflieger

Articles (7)

Les péniches du canal de l'Ourcq

Les péniches du canal de l'Ourcq

Dès que le soleil pointe son nez, les bords du canal de l'Ourcq se couvrent peu de pèlerins venus prendre le soleil en famille ou entre camarades. Les péniches, elles, regorgent d'activités qui pourraient vous surprendre : projections pour cinéphiles, opéras lyriques, dancefloors à même la cale du bateau... Voici donc une petite sélection de ces nefs parisiennes dans lesquelles flotter.

Le Parisien de la semaine : Mark

Le Parisien de la semaine : Mark

Rencontré dans sa boutique au 11 rue Saint-Sabin, dans le 11e arrondissement. Si vous êtes amateur de rock (garage, punk ou autre) et suivez l'actualité des groupes parisiens, le visage de Mark vous dira sûrement quelque chose. D'abord parce qu'il officie depuis douze ans comme batteur dans le groupe Frustration, un « groupe de potes » avant tout, aux influences post-punk et new wave. Aussi parce qu'il gère en parallèle la boutique de disques Born Bad près de Bastille (du même nom que le label tout aussi réputé dans le milieu, dénicheur de talents comme Cheveu, Magnetix ou La Femme) qui a fêté ses 15 ans en 2014. Ses clients ? Des passionnés et quelquefois des têtes connues comme Jarvis Cocker, le chanteur de Pulp qui habite le coin, ou encore Etienne Daho. Les groupes viennent y faire un tour et chiner après avoir fait leur balance à la Mécanique Ondulatoire. « C’est le passage obligatoire pour la scène garage de Paris. » Sa vie d’artiste et de disquaire lui laisse peu de temps, mais il trouve toujours un créneau pour sortir dans Bastille, son quartier de prédilection. 

Le Parisien de la semaine : Carole Juge

Le Parisien de la semaine : Carole Juge

Rencontrée rue Dupetit-Thouars, dans le 3e. C’est un doctorat en littérature américaine en poche que cette Vichyssoise d’une trentaine d’années est finalement revenue au pays. Des études de l’autre côté de l’Atlantique qu’elle avait entreprises pour devenir prof à la fac, peut-être même écrivain, qui sait. Mais après deux années d’enseignement, Carole plaque tout et décide de troquer ses cahiers de cours contre un rendez-vous à la chambre du commerce. Sa start-up MommyVille était née : un réseau social qui met en relation futures et jeunes mamans. Nous l’avons rencontrée à deux pas de République, elle nous éclaire sur ses sorties parisiennes et ses derniers coups de cœur culturels. 

Le Parisien de la semaine : Wendy

Le Parisien de la semaine : Wendy

Rencontrée au 104 (Centquatre), dans le 19e arrondissement. D'après ses amis, cette Bretonne de 23 ans est un peu tête en l'air. Pourtant elle la garde bien sur les épaules, sa tête, quand il s'agit d'avancer dans la vie... Passionnée de danse depuis plus d'une dizaine d'années, elle a décidé d'abandonner du jour au lendemain son boulot d'infirmière pour se consacrer pleinement à cette pratique. Entre coaching et cours, son quotidien est rythmé par ses pas de danse, que ce soit du break ou du classique, et elle aspire un jour prochain à accéder au rang de professionnelle. Heureusement, tout cela ne l'empêche pas de sortir ! Voici ses bonnes adresses :

Où manger après les ventes privées de De Fursac ?

Où manger après les ventes privées de De Fursac ?

Les Ventes Privées De Fursac ont lieu du 13 au 24 mai dans l'ensemble des boutiques, corners et sur la boutique en ligne. Afin de recevoir votre invitation, inscrivez-vous dès maintenant à cette adresse. Et parce que faire du shopping ça creuse, nous vous avons aussi préparé une sélection de restos à proximité des boutiques De Fursac rue Marbeuf et avenue Victor Hugo.

Le Parisien de la semaine : Alexandre

Le Parisien de la semaine : Alexandre

Rencontré sur son lieu de travail, boulevard de Belleville dans le 20e arrondissement. « Stéphanois de cœur » comme il se définit, ce jeune homme de 27 ans est monté sur Paris en 2013 pour faire un stage dans un cabinet d’avocats. Guère emballé par l'expérience, et l'échéance du loyer n'aidant pas, il s’est finalement découvert une passion pour le domaine de la restauration, et compte d'ailleurs ouvrir dans un futur proche son propre « restaurant-cantine ». Actuellement serveur aux Triplettes de Belleville, il « déteste être enfermé » et arpente sans relâche les rues de la capitale à la recherche de soirées atypiques et autres bonnes adresses culinaires... Voici donc ses bons plans.

Le Parisien de la semaine : Barbara Deyme

Le Parisien de la semaine : Barbara Deyme

Rencontrée boulevard Voltaire, dans le 11e. Ses amis l'appellent Barbie et pourtant, cette jeune femme de 24 ans n’a pas grand-chose en commun avec la célèbre poupée en plastique. « Born and raised à Paris », comme elle aime à le rappeler, Barbie est chargée de com dans une association qui s’occupe de l’insertion de jeunes et exclus du monde du travail à travers des chantiers internationaux de bénévoles. « Une sorte de colonie de vacances pour adultes », plaisante-t-elle...

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La Sudouesterie : les marques et le terroir du Sud-Ouest s’exportent à Paris

La Sudouesterie : les marques et le terroir du Sud-Ouest s’exportent à Paris

On connaissait le béret basque, la débauche des ferias, les spots de surf d’Hossegor et le foie gras au torchon, on découvre que le sud-ouest de la France a bien d’autres trésors à nous faire partager. Il ne sera donc pas question ici de confit de canard ou de cassoulet (du moins pas uniquement). L’esprit du Sud-Ouest s’exporte à Paris fin juin pour présenter lors d’un showroom spécial tout ce que la région compte de jeunes créateurs, dans des matières aussi diverses que les cosmétiques, les accessoires de mode, la déco, l'épicerie fine, le surf, le prêt-à-porter ou encore la lingerie. Une sorte d’incubateur de jeunes talents avec comme ligne directrice le « made in Sud-Ouest ». Impossible évidemment d'honorer ce patrimoine local sans passer par la case ripaille. Des paniers gastronomiques pour l’apéro seront distribués, à déguster sur place à la buvette sur la terrasse ou sur les bords du canal Saint-Martin. Car oui, il est possible de mélanger la cuisine généreuse du Sud-Ouest avec l’esprit guinguette de Lutèce.L'événement sur Facebook. Où ? • Canal Saint-Martin, 13 rue Jean-Poulmarch, Paris 10e.Quand ? • Les 20 et 
21 juin de 11h à 22h.

Les ateliers d'artistes de Belleville et Bercy s'ouvrent au public ce week-end

Les ateliers d'artistes de Belleville et Bercy s'ouvrent au public ce week-end

Les ateliers d’artistes de Belleville ouvrent leurs portes ce week-end à l’occasion de la 26e édition de « propagation », une thématique on ne peut mieux choisie pour ce quartier au cœur de la création contemporaine parisienne depuis trente ans. Comme son nom le sous-entend, l’idée sera de propager l’art en ouvrant près de 130 ateliers aux curieux, venus apprécier l’étendue de l’univers de plus de 250 plasticiens (peintres, sculpteurs, photographes…) qui font le quartier de Belleville (d'ailleurs réhabilité dans les années 1980 par ces mêmes artistes). En parallèle de ce projet se greffent tout un tas d’événements allant du concours photo aux performances, en passant par des rencontres et des projections. Plus d’infos ici. Pour ceux qui ne seraient pas rassasiés, les mythiques frigos de Bercy ouvrent leurs portes à leur tour pour fêter les 30 ans de créations et productions artistiques dans ce lieu underground aux allures de friches industrielles. Les quelque quarante artistes résidents permanents vous feront découvrir leur travail les samedi et dimanche après-midis de 13h à 22h et de 14h à 20h. Vous l'avez compris, ce week-end sera artistique ou ne sera pas ! Plus d'infos ici.   Où ? • Métro Couronnes, Jourdain et Belleville / Quai de la Gare Quand ? • Du vendredi 29 mai au lundi 1er juin Combien ? •  Gratuit

Les mille et une morts de Chris Burden

Les mille et une morts de Chris Burden

Génie borderline pour certains ou provocateur masochiste pour d’autres, cet artiste contemporain hors norme fut l’un des premiers à avoir mis en scène la notion de performance en utilisant son propre corps comme support (le body-art). Dans son rapport à l'art, Chris Burden mettait sa propre personne en danger. D’après lui, l’art ne devait pas être un tableau que l’on accroche au mur pendant des années, mais plutôt une expérience éphémère et intense. Toute sa vie, il a donc essayé de se démarquer du schéma « atelier-galerie-musée ». Ironie du sort, après avoir mis sa vie en jeu à de moult occasions au cours de sa carrière en risquant de s’immoler, s’électrocuter ou se noyer, il est mort dimanche dernier des suites d’une complication d’un mélanome malin, autrement dit d’un grain de beauté qui a mal tourné. Les années 1970 marquent le début de ses « exploits » avec la démocratisation de la caméra à l’aide de laquelle il filme ses performances. Sa dernière exposition personnelle qu’il réalisa de son vivant est actuellement en cours à la galerie Gagosian. Nous avons sélectionné quelques-unes de ses prouesses qui ont marqué un tournant dans l’histoire de l’art en lui donnant une toute nouvelle dimension.   'Shoot' (1971) - ou l’expérimentation de la chair Sûrement son action la plus emblématique. Alors qu’il n’est encore qu’étudiant dans une école d’art, il demande à un ami de lui tirer dans le bras au 22 Long Rifle. Heureusement, cet « ami » en question était bon tireur et attei

Une expo d’art contemporain itinérante

Une expo d’art contemporain itinérante

Après la RATP et son concept d’expositions publiques à même les quais du métro, c’est au tour des cars d'Air France de se rhabiller dans une nouvelle robe très arty pour une expo itinérante d’art contemporain entre la capitale et ses aéroports. C’est sur le dos d’une vingtaine de bus porte-étendards que vous aurez l’occasion d’admirer les œuvres de 6 artistes plasticiens, photographes ou designers sélectionnés par le collectif « 44 Kleber ». Leurs points communs ? L’art contemporain, et l’envie de partager leur travail avec le plus grand nombre. D'après les estimations, cette performance mobile d’un nouveau genre parcourra 50 000 km et touchera près d’un million de personnes ; un chiffre qui pourrait rendre envieux les musées, même si ceux-ci voient pour la plupart leur fréquentation augmenter chaque année. Ainsi, vous pouvez dès aujourd'hui admirer au détour d'un feu rouge et sur les grands axes parisiens (porte Maillot, Invalides, gare de Lyon et Etoile/Champs-Elysées) les prédateurs sous-marins de Ann Grim ou les fresques street art de Yann Sciberras, entre autres. Une initiative à saluer puisque c’est désormais l’art qui vient à la rencontre du spectateur en se réappropriant l’espace public, remplaçant de fait les sempiternelles pubs qui bouchent notre horizon visuel.

La Foire de Paris 2015

La Foire de Paris 2015

Le plus grand supermarché éphémère de France revient pour sa 111e édition, avec des exposants à foison pour un melting pot d'inventions, de produits du terroir et d'objets déco - voire d'objets pas franchement utiles. Tour d'horizon de la sélection 2015. Depuis son inauguration mercredi dernier par Anne Hidalgo, l'espace grand de 200 000 mètres carrés compte recevoir plus de 500 000 visiteurs sur les 10 jours où se tient le salon. Cependant ne nous voilons pas la face, ce qui y est intéressant (et drôle), c'est surtout le concours Lépine. Cette fameuse compétition, vieille de 115 ans, regroupe cette année 58 inventions, toutes plus improbables les unes que les autres. Mais ne soyons pas mauvaise langue, vous trouverez peut-être ici le digne successeur du moulin à café (palmarès 1910) ou du stylo à bille (1919). Du mélangeur à salade en passant par la table de salon avec babyfoot intégré ou le papier toilette de poche (ne vous essuyez pas n'importe où non plus, vous risquez d'être attaqué pour atteinte à la pudeur) le cru 2015 annonce du lourd. L'acteur Tomer Sisley (alias Largo Winch) sera également de la partie avec son airbag à cascade pour particulier. Des ateliers coaching et cuisine, des happenings de danse tahitienne, des concerts... Un peu de tout, un véritable fourre-tout donc ! Une Foire de Paris digne de ce nom, qui se tient jusqu'au week-end prochain Porte de Versailles.   Où ? • Parc des Expositions - Porte de Versailles Quand ? • Du 29 avril au 10 mai Combien ? •

Où clubber la veille d'un 1er mai ?

Où clubber la veille d'un 1er mai ?

Il paraît que demain tout le monde fait la grasse mat (ou presque). Et ça tombe bien, on vous a concocté une petite sélection pas piquée des hannetons des meilleures soirées où bouncer comme il se doit la veille de ce 1er mai, qui s'annonce d'ores et déjà pluvieux. Heureusement, il vous restera trois jours pour récupérer. Si vous comptez récupérer. Une soirée acid/techno pour revenir au temps des raves, avec le DJ français Voiron, d'abord chez Concrète puis signé sur Cracki Records. Plus d'infos sur l'event Facebook. A l'Espace B une soirée rock 'n' roll cuisinée par le collectif Dead Boy, de quoi chiller à partir de 20h avec The Memories, Cannery Terror et Myrha. Plus d'infos sur l'event Facebook. A l'occasion de la sortie de la compilation First Mission ce 27 avril dernier, le collectif Voyage Direct part en tournée à travers l'Europe et pose ses valises à la Machine du Moulin Rouge ce soir, pour un périple qui durera toute la nuit. Plus d'infos sur l'event Facebook. Pour sa première ouverture en semaine, le club japonisant EKO met les bouchées triples avec deux figures emblématiques de la scène parisienne et internationale, et un exilé revenant sur sa terre natale... Plus d'infos sur l'event Facebook.      

Après le Camion, voici le Bateau qui fume

Après le Camion, voici le Bateau qui fume

Depuis son intronisation en France en 2011, le Camion qui fume (premier food truck parisien) a fait de la route. Sa chef Kristin Frederick voulait importer l’esprit street food à l’américaine avec des burgers de qualité à bas prix : c'est un pari plus que réussi. Cette californienne de 30 ans a désormais comme ambition l’ouverture prochaine d’un restaurant au cœur de la capitale et d'un bateau ambulant d’ici cet été. L’ouverture du Bateau qui fume initialement prévue ce samedi 25 avril a finalement été reportée à cause d'un souci technique. Mais pas de panique, vous aurez l’occasion de mordre dans un bun doré d’ici l’arrivée des beaux jours. Le concept ? Toujours le même, mais cette fois c'est un bateau-locomotive qui cabotera de quai en quai (les quais de Solferino, Tournelle et Suffren sont déjà sur la liste). Soyez donc au rendez-vous car un quai par jour seulement sera desservi le midi, avec le même système de rotation des débuts du Camion (par la suite, trois camions ont pris le relais). Les burgers proposés seront les mêmes et servis dans un camion garé à même la barge, les clients ne seront donc pas dépaysés. Avec en bonus l’ouverture d’une buvette (aux allures de triporteur) qui proposera vins, bières et champagne. Ne manquent plus qu'un Avion qui fume et un Vélib' qui fume, et on sera bien.

Le plus vieil arbre de Paris

Le plus vieil arbre de Paris

Quand le soleil revient, l’ombre n’est jamais bien loin. Et quoi de mieux que de s’abriter sous les branchages d’un arbre multi-centenaire ? Au cœur du Quartier latin, le robinier du square Viviani, originaire d'Amérique du Nord, a déployé ses racines pour la première fois à Paris en 1601 lorsqu’il a été introduit par le botaniste du roi, Jean Robin, qui, on l'aura remarqué, l'a baptisé de son propre patronyme. Comme tous les vieux messieurs, le grand corps de ce doyen végétal se repose sur une canne (en béton armé quand même), camouflée par un rideau de lierre. Et pour le plus grand plaisir de votre séant, un banc circulaire a été construit autour du tronc. Parfait pour contempler Notre-Dame « auprès de [votre] arbre », comme le fredonnait un grand chanteur sétois.

Journée « portes ouvertes » à la RATP

Journée « portes ouvertes » à la RATP

En ces temps de chaleur quasi caniculaire (n’ayons pas peur des mots), on ne va pas se plaindre d’un peu d’air frais. D’ailleurs une inscription sur les fenêtres nous rappelle de les garder fermées pour que la clim fasse son effet… Oui mais, et les portes ? C’est sur la ligne 10, aux alentours de la fin mars, que se produisit l’impensable : une rame de métro a vu ses portes s'ouvrir alors qu’elle roulait à tombeau ouvert (n’exagérons rien non plus). Une chance que cela ne se soit pas passé en pleine heure de pointe. Incrédulité des passagers ? Que nenni. Les Parisiens, réputés pour leur flegme légendaire, n'ont pas semblé s’émouvoir plus que ça de cette ventilation improvisée. A tel point que certains internautes crient au trucage sur les réseaux sociaux, avouant néanmoins que si montage il y a, il est rudement bien fait ! Alors que les syndicats s’alarment de l’absence de système de sécurité qui empêcherait normalement le métro de démarrer dans ce genre de situation, la RATP a décidé d’ouvrir une enquête interne pour « déterminer la véracité du film », et si besoin, punir le responsable du forfait, si responsable il y a.

Le photographe Harry Gruyaert exposé sur les quais du métro

Le photographe Harry Gruyaert exposé sur les quais du métro

La RATP a la bonne idée depuis quelque temps d’exporter les reproductions de certaines œuvres des salles des musées vers les quais du métro. Après Garry Winogrand et l’exposition Magnum, c’est au tour de Harry Gruyaert de voir ses photographies étalées au format 4 m sur 3, et remplacer les habituelles publicités pour des sites de rencontres extra-conjugales ou des voyages à petits prix (soi-disant). On peut dire que l’on gagne au change. Le photographe belge, lui aussi membre de l’agence Magnum, est l’un des premiers à avoir utilisé la couleur argentique dans une dimension purement créative et poétique, influencé par le Pop Art des années 1970. Chaque station de métro (16 au total) aura son univers thématique propre, inspiré des lieux qu’il a sillonnés tout au long de sa carrière, de sa Belgique natale au Maroc, en passant par l'Union soviétique. Ce parcours photographique souterrain est en complément de la première rétrospective consacrée au photographe à la Maison Européenne de la Photographie, et débute demain.  Où ? Les quais du métro. Quand ? Du 14 avril au 15 juin 2015. Combien ? Le prix d’un ticket de métro.  

Une séance de danse sous hypnose

Une séance de danse sous hypnose

« Ce qui est vraiment intéressant avec l’hypnose, c’est que les gens ne peuvent pas mentir. » Cette phrase de l’artiste électro-pop Yanis vient à point illustrer son premier clip "Hypnotized", paru aujourd’hui sur le site Nowness. A l’écran, sept cobayes que vous reconnaîtrez pour certains (l’ex-miss météo de Canal + Charlotte Le Bon en fait partie) vont être placés dans un état d’hypnose. La séance débute et les pantins désarticulés et désinhibés se mettent à gesticuler, onduler et balancer leur corps au rythme de la musique planante de l’artiste. Chacun leur tour, ils se lancent dans un petit freestyle dansant sous le regard encore hagard de leurs compères qui semblent être en pleine descente d’acide. Si le rendu est poétique et sensuel, l’expérience apparaît assez éprouvante émotionnellement pour les acteurs, perdus dans une transe à mi-chemin entre le rêve et la réalité.

Fauchon se met au vert pour la Saint-Patrick

Fauchon se met au vert pour la Saint-Patrick

Le traiteur Fauchon est réputé dans la capitale aussi bien pour son épicerie fine, ses pâtisseries, que pour la qualité de ses éclairs, comme Ladurée l’est pour ses macarons. Vous vous dîtes que jusque là rien de bien original étant donné que c’est l’une des spécialités phare les plus prisés des parisiens comme des touristes avertis.  Oui mais voilà, celui-ci a une saveur bien particulière, celle de l’Irlande. Pour la Saint-Patrick, le chef pâtissier de la maison Fauchon, Patrick Pailler (ça ne s’invente pas), a imaginé pour l’occasion une toute nouvelle recette d’une durée limitée en l’honneur du trèfle irlandais : l’éclair Irish Coffee. La pâte à choux, qui constitue le corps de ce met délicat, est fourrée d’une crème de mascarpone aromatisée au café de Colombie sur une couche de crémeux au whisky ; puis recouverte de sphères de mascarpone infusées à la vanille bourbon de Madagascar le tout surélevé d’une fine couche de chocolat noir 67%.  L’éclair, vendu 7 euros, est à dégusté du 13 au 21 mars dans leur unique boutique parisienne situé place de la Madeleine dans le 1er arrondissement. Une mise en bouche idéal avant de commencer la tournée des pubs.