Chez Jorge
Pour qui ? Les amateurs de poulet braisé en général. Et les frileux qui veulent s'essayer à la gastronomie portugaise, mais sans trop y aller.Plat culte ? Le « Jorge », forcément.
Le frango assado, littĂ©ralement « poulet rĂŽti » en portugais-dans-le-texte commence Ă faire des Ă©mules dans la capitale ! AprĂšs la succulente Churrasqueiria des Batignolles, voici donc Jorge, nouveau-nĂ© dans la basse-cour parisienne, tout juste ouvert ! Ici, on ne sert que cette spĂ©cialitĂ©, traditionnellement marinĂ©e dans une sauce pimentĂ©e. Une volaille Ă partager entiĂšre (22,90 âŹ) ou Ă dĂ©guster Ă la part, avec des accompagnements â gratin de pommes de terre et patate douce, petits lĂ©gumes, et/ou pommes de terre grenaille (9,90 âŹ-11,90 âŹ).
Pour dĂ©guster tout ça, on embarque une Portugaise du cru, déçue avant mĂȘme de commander. ZĂ©ro prise de risque dans le cadre, mimi mais aseptisĂ©. Seule une vague odeur de cannelle Ă saupoudrer sur les pasteis de nata, ces dĂ©licieux gĂąteaux Ă la crĂšme, exposĂ©s en vitrine, vient chatouiller nos narines. Lâaile ou la cuisse ? Le choix sâeffectue au comptoir, oĂč lâon sĂ©lectionne aussi une sauce « maison » â piri-piri, avocat/coriandre, lardons/crĂšme fraĂźche ou encore huile dâolive et ail. Les poulets sont issus dâĂ©levages français, une partie venant notamment de la volaillĂšre des Clos, en Normandie (plein air, volailles abattues au bout de 90 jours minimum, le double d'un poulet de batterie). La viande est tendre mais manque de goĂ»t, de mĂȘme que les accompagnements, v