Pascal Sain

Pascal Sain

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15 choses que les provinciaux détestent chez les Parisiens

15 choses que les provinciaux détestent chez les Parisiens

On a beau dire que la province est une invention - un poil méprisante - des Parisiens, les Français qui n'habitent pas à Paris sont presque unanimes : les Parisiens ne sont pas des gens comme les autres. Ils sont énervants. Ils râlent. Ils ne sourient pas. Ils sont trop pressés. Ce sont des bien-pensants gauchistes ou au contraire de grands bourgeois réactionnaires. On ne va pas toutes les faire, il y a sans doute des centaines de critiques qu'on peut adresser aux Parisiens, et en voici déjà quinze. Quinze manies, tics, habitudes qui rendent dingues nos copains en région. Et pas seulement parce que l'on profite de la plus belle ville du monde.  1. Ce sont de redoutables chasseurs… de 4G, même en pleine nature quand tu as besoin de tout sauf de réseau.  2. Ils font un peu trop confiance au GPS, quitte à passer juste devant leur destination sans la voir. « Chérie, tu vas rire, en fait on a dépassé l'auberge il y a trente minutes. » 3. Les photos de leurs cuissots avec vue sur la plage/la piscine/le paysage de rêve simplement pour pouvoir poster un #instapute.  4. Cet émerveillement constant et pourtant si étrange. « Eh t’as vu le pigeon ?! Il est tout propre et il a même ses deux pattes ! »   5. Ils sont toujours pressés, même en vacances. Gagner du temps pour ne rien faire. Logique. 6. Ta ville devient comme par magie un « patelin » ou un « bled ». « C'est tellement chouette ce petit côté rustique. »  7. Il ne fait rien sans son guide qui lui dit quel restaurant tester, quel

L'Europe aux portes de la Ville

L'Europe aux portes de la Ville

Et de sept ! Pour sa septième édition, le festival Chantiers d’Europe nous propose de découvrir la scène contemporaine européenne jusqu’au 4 Juin au théâtre de la ville. Trois semaines ouvertes aux artistes et des spectacles qui nous racontent à travers le prisme de leur pays et de leur âge les événements marquants qui ont façonné le visage de l’Europe telle que nous la connaissons aujourd’hui. Un panorama artistique qui témoigne des révolutions, des guerres et des crises. Cette année, la programmation des Chantiers d’Europe met à l’honneur cinq pays : la Grèce, l’Italie, la Pologne, le Portugal et enfin la Suède. Elle prend le pouls d’une Europe en mutation en s’intéressant à cette génération d’artistes « viscéralement incompatible avec les tentations de repli sur les "priorités nationales" et de rejet de l’autre qui affleurent ici et là. » Relic © Miltos Athanasiou   Si le fil rouge de ce festival est évidemment l’histoire récente de l’Europe, les thèmes abordés et les mises en forme sont aussi originaux que variés. Ainsi au théâtre des Abbesses, on retrouve le travail de la compagnie Teatro do Vestido. ‘Le Musée vivant des mémoires infimes et oubliées’ revient sur un demi-siècle de dictature de Salazar via les souvenirs intimes d’une femme seule en scène (Joana Craveiro). Plus anecdotique, ‘Carton rouge’ raconte l’histoire de Léo, 12 ans, jeune réfugié en Suède, qui rêve de devenir le prochain Zlatan. Sur la scène du théâtre de la Ville, on croisera les pas de danse de l