Rémi Morvan squatte les lignes de Time Out Paris depuis 2017 où il est chargé des rubriques Musique et Actualités. Attiré par toutes les scènes indés et les groupes de stade de moins de 1 000 places, il lui arrive d’enquiller un concert de rock dans une cave moite avec un concert de rap avant de finir dans un club sous le périph. La légende raconte que plusieurs personnes de sa famille ont dans le passé bossé à la RATP et que c’est pour ça qu’il a toujours un train d’avance sur les bons plans.
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The 50 best things to do in Paris right now
Let’s get one thing out of the way first: Paris is huge. Your to-do list might be eight pages long. And if you’re just here for the weekend, there’s no way you’ll be able to fit absolutely everything in (though God does love a trier, so they say). But don’t panic. The team over at Time Out Paris know this city like the back of their hand, and that means they know the spots that are really worth your time (and dough). On this list, we’ve got everything from alternative tours of the Louvre to the best egg mayo in the city, and plenty of places to dance in between. Whatever you’re after, here are the best things to do in Paris right now. RECOMMENDED:🥘 The best restaurants in Paris🏘️ Where to stay in Paris🏺 The best museums in Paris🏡 The best Airbnbs in Paris🎢 The best rides at Disneyland Paris This article was written by the editorial team at Time Out Paris. At Time Out, all of our travel guides are written by local writers who know their cities inside out. For more about how we curate, see our editorial guidelines.
Que faire à Paris en septembre 2024 ?
Le mois de septembre, c’est le moment de la bascule entre ce moite été et un automne forcément moins avenant. Mais avant de glisser vers le froid et les nuits sans fin, la rentrée parisienne plastronne fort en matière de bons plans. C’est pas dur, on en a trouvé 30 plans à même de satisfaire toutes les envies de sorties, avec des festivals dans tous les styles, des restos tout chauds et des expos à gogo. Oui, la rentrée est là, mais ce dossier la rend plus douce. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.
Les meilleurs concerts du moment à Paris
Afin de contenter le maximum de monde, notre agenda des concerts rassemble autant des énormes stars, habitués aux shows son-lumières-pyrotechnie que des groupes issus de la scène rock indé française, potentiellement parmi la plus exceptionnelle au monde. De la grosse soirée passée à l'AccorHotels Arena jusqu'à l'intimiste date à la Station, il ne fait aucun doute que vous trouverez votre bonheur dans cette sélection. Que demande le peuple ? Pour découvrir notre sélection des salles de concerts à Paris, c'est par ici.
Les meilleurs festivals de musique du moment à Paris
L'été, le Graal niveau festivals, est, pour quelques jours encore, bel et bien là. Après avoir joué les fins limiers et épluché toutes les progs, on a réuni que la crème, en piochant dans toutes les chapelles stylistiques (rock, rap, musique électronique…) et toutes les dimensions. A propos de la mise à jour de la sélection Les festivals annonçant régulièrement de nouveaux noms, ce dossier sera régulièrement mis à jour. Il se peut aussi que certains plans se retrouvent vite complets. Un conseil : tentez les sites de revente légaux, ça marche souvent.
Les meilleurs cinémas en plein air à Paris et en banlieue
Pendant le festival des beaux jours, quand le soleil et les températures sont en haut de l’affiche, la capitale et sa banlieue se tapissent de cinémas en plein air. Comme toujours, on est parti à la pêche pour ne vous dégoter que la crème de la crème. Côté prog, tout le monde trouvera son compte dans notre liste, entre films très grand public, affiches thématiques plus pointues ou focus sur un format précis (notamment du court). Bon à savoir : cette année, JO oblige, les classiques cinémas de la Villette et Paradiso n'auront pas lieu. Bonne séance ! Pour profiter à fond de l'été, découvrez nos dossiers recensant les piscines, les plages et les parcs à Paris.
35 bons plans en or massif pour réussir les Jeux olympiques de Paris 2024
Plus divers, plus gros, plus cool, ce pourrait être la devise de ce dossier de survie à Paris durant les Jeux olympiques. Tel un Pierre de Coubertin en phase maniaque, nous avons essoré les agendas de nos lieux préférés, exploré les programmes des pavillons éphémères et secoué nos meilleurs indics pour vous proposer cette sélection somptueuse de 35 plans à faire entre deux épreuves de ping-pong sur gazon ou de tir à l’arc en eaux vives. Car n'oubliez pas : l’important, c’est de participer, mais à un maximum de choses ! > Pour découvrir notre page dédiée aux Jeux Olympiques de Paris.> Pour dégoter les meilleurs plans food, expos et soirées.> Pour trouver une fan zone où voir les épreuves en direct.
Nos meilleurs bals à Paris pour le 14 juillet 2024
Roulements de tambour, cotillons et pétards Bison 5, la fête nationale du 14-Juillet est en approche. Comme tous les ans, elle débarque avec dans sa musette une foule de célébrations et événements en tous genres – pour le meilleur et pour le pire. Cette année, plutôt que de lister des feux d’artifice et autres bals de pompiers un peu trop (vus et re)vus, on a décidé de vous signaler les bals, soirées et festivals qui sortent du lot, aussi bien par leur programmation, leur localisation que par le message qu’ils délivrent. Approchez-vous et découvrez un dossier qui va vous faire dire que le 14-Juillet, c’est trop d’la bal(le) ! Et pour découvrir nos dossiers des clubs (ici) et des bars où danser (là) à Paris.
The 22 best parks and gardens in Paris
The French capital is well known for being built-up, polluted and, in warm weather, ever so slightly stuffy. That means a bit of fresh air can be a very good thing here, especially when a heatwave strikes. You can’t get out of town super-fast (and the sea is hours away), but for a 105-square-kilometre city crammed inside a ring road, Paris has a disproportionate number of brilliant parks and gardens to kick back and relax in. Whether you’re after a riverside stroll, chilled picnic spots, outdoor yoga or aerobics classes, or somewhere that’s particularly rich in flora and fauna, there’s a green space for you on this list. The City of Light may well boast all manner of magical things to do, but these Paris parks must rank among the city’s most marvellous sights. Why not take a look and explore for yourself? Here are the best parks in Paris. RECOMMENDED: 🥘 The best restaurants in Paris🎨 The best things to do in Paris⛵ The best day trips from Paris🏡 The best Airbnbs in Paris Rémi Morvan is a journalist at Time Out Paris. At Time Out, all of our travel guides are written by local writers who know their cities inside out. For more about how we curate, see our editorial guidelines.
Les meilleures piscines pour prendre l'eau à Paris
Envie de vous jeter à la baille à Paris ? Vous êtes dans la bonne ligne. Si la capitale n’est pas réputée pour ses plages de sable fin, elle dispose d’une kyrielle de piscines à même de satisfaire toutes les pratiques et jeux d'eau. Que vous soyez nageur hyperactif, barboteur du dimanche ou simple bronzeur estival, vous trouverez claquette à votre pied dans ce dossier aussi costaud qu’un trapèze de Michael Phelps. Et parce qu’on peut avoir le goût de l’eau mais aussi du beau, on a pris soin de piocher plusieurs bassins avec de la gueule. Certains sont classés aux monuments historiques, d’autres squattent la Seine ou se découvrent en été. Et pour celles et ceux qui ont envie de claquer leur CODEVI, de faire plaisir ou de se faire plaisir, on a aussi glissé quelques piscines d’hôtels rutilantes. Voici 18 lieux pour celles et ceux qui ont vraiment piscine. Du côté des horaires Les horaires sont régulièrement mis à jour par la rédaction de Time Out Paris mais ils changent tout aussi régulièrement si bien qu’il est parfois difficile de s’y retrouver. Pour éviter de se retrouver en carafe tongs au pied devant la porte, on vous conseille de checker cette page de la mairie qui recense au jour le jour les heures d’ouverture des différents bassins.
7 teufs pour célébrer la Marche des fiertés 2024
Un grand drap arc-en-ciel va recouvrir la capitale. Samedi 29 juin 2024, sous le haut patronage de l’Inter-LGBT, la Marche des fiertés (ex-Gay Pride) va s’ébranler dans Paris, en reliant un parcours entre la porte de la Villette et la place de la République. Les mots d’ordre de cette cuvée 2024 ? “Marchons sur l'extrême-droite !” et “Contre la transphobie ? Transolidarités !”. Festif oui, combatif surtout. Si une ribambelle de (très bons) DJ ambianceront le podium place de la République, on s’est penché sur l’after et sélectionné sept teufs électroniques qui célèbrent les scènes queers dans toute leur beauté et diversité. Découvrez nos sélections des bars queers de la capitale, des clubs et des bars où danser.
75 choses immanquables à faire avant de mourir à Paris
Scoop : vous n’aurez pas assez d’une vie pour profiter de toutes les choses à faire à Paris. Alors, plutôt que de courir après une chimérique exhaustivité, on vous a sélectionné les 75 meilleurs plans à Paris. Au total, ça donne une liste dense comme un haltérophile ouzbek de 75 plans qui slaloment entre toutes les envies et tous les budgets, entre les institutions iconiques et les adresses plus confidentielles. Ce que vous allez y trouver ? Le nectar des restos et bars, des musées et expos à gogo, des pistes de danse au kilomètre ou des toiles à la belle étoile. A vos calepins mes lapins !
Que faire pour la Fête de la Musique 2024 à Paris ?
Vendredi 21 juin 2024, la Fête de la Musique revient pour une 42e édition, transformant de nouveau la capitale en jam-session à ciel ouvert. Pour animer le jour le plus long de l’année, on est parti pister tous les coins de Paris pour vous dégoter la stracciatella des soirées, concerts et teufs proposées. Pensez à être curieux et à vous balader, les bonnes surprises ne sont jamais très loin. Un dossier garanti sans reprises de Nirvana, Pixies ou Green Day. Pour continuer la soirée, découvrez notre dossier des meilleurs clubs et bars où danser et à Paris. Et pour retrouver les stations de métro, RER et bus ouvertes toute la nuit, c'est par ici.
Listings and reviews (658)
Piscine Georges Vallerey
Le milieu du chlore parisien est en ébullition. Après deux ans de travaux, la piscine Georges-Vallerey a rouvert ses lignes au public au printemps 2024. Et quand on parle de mythe, on n’exagère pas : c’est ici, il y a cent ans, lorsqu’elle s’appelait encore la piscine des Tourelles, que se sont déroulées les épreuves de natation des JO de Paris 1924, marquées par trois ploufs dorés de Johnny “Tarzan” Weissmuller. Un nouveau toit amovible A l'été 2024, Georges-Vallerey accueillera les entraînements des athlètes olympiques. Ensuite, tout le monde pourra profiter d’un complexe nouvelle génération polishé par le cabinet AIA Life Designers. On y redécouvre le grand bassin de 50 mètres – cerclé de gradins bétonnés rougeoyants – toujours modulable à 37,5 mètres ou en deux fois 25 mètres, avec goulettes rénovées pour, nous dit-on, une meilleure acoustique, et des anneaux olympiques lumineux en déco ! Et surtout, on retrouve une nouvelle version du toit amovible dont l’ancienne charpente de 25 tonnes de bois datant des années 1980 a été en partie utilisée pour usiner la nouvelle signalétique ainsi qu’une partie du mobilier des vestiaires. L’autre caractéristique de cette Vallerey 2k24 concerne son accessibilité, entre un bâtiment – les gradins notamment – aux normes PMR et des aménagements comme ce chenil pour accueillir les chiens guides.
Spectrum Waves: Pride Edition
A la Stass, Spectrum est roi. Voilà plusieurs années que le collectif queer cartonne la Station avec ses sessions techno en before, after, festival ou soirée. Alors quoi de plus logique que de les retrouver, comme l’an dernier, aux manettes à la Pride venue ? Pour faire gigoter les guincheurs, on pourra compter sur ABS8LUTE, à la techno jamais linéaire ; l’iconique Steffi pour un plat de résistance tout de kicks syncopés ; et la résidente Lea Occhi pour un B2B avec Justine Perry. Cela va sans dire, les préventes sont déjà parties, alors venez tôt pour récupérer les derniers sésames. Pour découvrir notre dossier des clubs où danser à Paris, c'est par ici.
Fête la musique : Macki x Rave Skateboards
Amuse-bouche pimenté pour le Macki ! Pour la Fête de la Musique, l’alliance festivalière de la Mamie’s et de Cracki Records s’associe à la marque Rave Skateboards pour poser ses decks sur la terrasse du resto Bang Bang spécialisé dans les plats tout de capsaïcine vêtus. Outre les tauliers de la Mamie’s et de Cracki qui seront là pour des tours de passe-passe house, les noceurs auront le loisir de gigoter devant le set mi-dancehall mi-afro de la DJ canado-jamaïcaine Niabi ou l’artiste Error404. Un before de qualité avant la grande explication de la fin juin à Carrières-sur-Seine. Pour continuer à danser, découvrez notre dossier des meilleurs clubs à Paris.
Fête de la Musique à la suédoise
En ce premier jour de l’été, cap vers le Grand Nord ! Pour le 21 juin, l’Institut suédois a décidé de mixer la Fête de la Musique avec Midsommar, cette grande célébration suédoise de l’arrivée de l’été. Côté prog, les orgas jouent la carte du local avec une affiche musicale 100 % suédoise. Comme l’an dernier, vous aurez d’abord la possibilité de déambuler, couronne de fleurs sur la tête, dans les jardins de l’institut, guidés par la folkeuse Eskelina. A sa suite, deux concerts sont annoncés : celui de Jelly Crystal, artiste flirtant avec le glam et la power pop des années 1970, suivi d’Alice Boman et ses sons pop contemplatifs parfaits pour se poser devant un fjord et réfléchir à la vie. Pour continuer à danser, découvrez notre dossier des meilleurs clubs à Paris.
Fête de la Musique au Point Ephémère
Comme l’an dernier, pour la Fête de la Musique, ce sera ambiance rock indé sur les bords du canal Saint-Martin ! Pour faire claquer ses enceintes, le Point Ephémère a invité l’attelage Hoorses, Fleur Bleu.e et Paper Tapes pour des envolées lo-fi (au sens large). Les live terminés, ce sera au tour des kicks électroniques de débarquer sur une thématique italo-trance avec notamment un B2B entre les collectifs Club Eterno et Ulla Records. Entrée libre toute la nuit. Pour continuer à danser, découvrez notre dossier des meilleurs clubs à Paris.
Fête de la musique avec Pulse
Nouveau nom pour une même vie. Après deux ans d’existence, la P3, cette soirée faite par les femmes pour les femmes (de plus de 21 ans) majoritairement queers et racisées devient Pulse ! En guise de première vibration, Stencia et Mariana, les deux tenancières, s’occuperont de la Fête de la Musique version Gaîté Lyrique, soit une guinche directement sur le parvis avec des sets qui devraient osciller entre musiques électroniques, afro, hip-hop et mille autres sons. Nota bene : cette première Pulse sera accessible à toutes et tous, alors profitez-en, ce sera peut-être la dernière. Pour continuer à danser, découvrez notre dossier des meilleurs clubs à Paris.
à la folie - Fête de la Musique
Pour une Fête de la Musique teintée d’arc-en-ciel, c’est A la Folie que ça se passe ! Le 21 juin, le repaire des scènes queers parisiennes met la truffe à la fenêtre et sort ses baffles sur son immense terrasse pour la seule et unique fois de l’année. Pour ambiancer ses ouailles, A la Folie s’est tourné vers des DJ tendance acid house saccadée bien connus sous ces latitudes comme Ixpé du collectif drag Discoquette ou Le Saint de l’escouade des Sœurs Malsaines. Pour continuer à danser, découvrez notre dossier des meilleurs clubs à Paris.
Crack Cloud
Ils ne sont pas nombreux, les groupes de rock ayant amené de la nouveauté dans le genre ces dernières années. Crack Cloud est de ceux-là. Depuis 2016, ce collectif canadien, sorte d’orchestre post-punk dissonant mené à la baguette par un batteur-chanteur magnétique, vous remue les tripes autant qu’il bouscule le sens de l’Histoire (oui carrément). Que ce soit sur disque ou en concert, ils donnent l’impression de suspendre le temps, comme s’ils détenaient entre leurs mains le futur d’un nouveau quelque chose. Une bonne partie des titres tutoient l’épique, à base de guitares qui cinglent, de classieux claviers mais aussi de chorales, de rythmes électroniques ou de chants scandés/rappés. Ils seront à la Maroquinerie en septembre pour célébrer la sortie de leur troisième album Red Mile et rien que pour ça, on sera heureux de rentrer de vacances. Pour découvrir notre sélection des salles de concerts à Paris, c'est par ici.
Vox Low
Si, au cœur de l’automne, vous avez un coup de mou et besoin d’un petit remontant, demandez une prescription de Vox Low à votre toubib ! Vieux soutiers des scènes rock et électroniques parisiennes, les membres du quatuor se sont posés en 2018 chez Born Bad, le label rock de référence de nos latitudes. Résultat : deux albums invoquant autant la new wave, le krautrock que des teintes plus électroniques, et des concerts évoquant la grande époque de la sidérurgie lorraine. Après une Maroquinerie bourrée comme un Anglais à 15h un Boxing Day, ils nous offrent un match retour au Trianon. Bonus : ils seront accompagnés du duo post-punk technoïde Bracco pour une date qui s’annonce chaude comme un brasero de grève. Pour découvrir notre sélection des salles de concerts à Paris, c'est par ici.
Gwendoline
C’est le groupe qui secoue le rock indé français en ce moment. Ça s’appelle Gwendoline, duo (qui mute à quatre en live) brestois formé de Pierre et Mickaël, qui a sorti en mars C’est à moi ça chez Born Bad, l’écurie reine du rock hexagonal. Leur petit truc en plus ? Au-delà de sonorités rappelant tout le spectre des musiques suffixées en -wave (new, cold ou schlagwave selon eux), leurs textes (en français) interpellent. Dans des complaintes clamées comme des hymnes, ils déroulent une sorte de catalogue des vicissitudes du monde contemporain, entre culte de la croissance, tourisme et violences en tous genres. Un panorama de l’enfer très dérangeant car détaillé de manière brute, sans mise en perspective, prise de position ou revendication. En concert, c’est une véritable machine de guerre, entre chorale fédératrice et visuels cyniques. Préparez-vous à vous faire marcher dessus avec plaisir par Gwendoline ! Pour découvrir notre sélection des salles de concerts à Paris, c'est par ici.
Rex Club
Dans le kop des clubs parisiens, c’est le plus iconique de tous. Quarante ans que le Rex s’est fait un nom dans les sous-sols du cinéma. L’histoire du lieu commence par des débuts plutôt rock dans les années 1980 – les Red Hot, Sonic Youth ou Prince ont échauffé la fosse –, avant un virage électronique en 1988 en forme de rollercoaster. Laurent Garnier y insuffle un peu de l’esprit “Madchester,” avant que le 5 boulevard Poissonnière ne se transforme en piste aux étoiles électroniques dans les années 90 – coucou Daft Punk, Derrick May, Richie Hawtin ou Kevin Saunderson. Sacrément secoué par la nouvelle concurrence née durant le bouillonnement festif des années 2010, le Rex s’est récemment offert plusieurs relookings, dont un de haute qualité en 2023 sous les rouleaux de Matière Noire, pour une remontée dans les charts de la fête parisienne. Aujourd’hui, le Rex flexe avec ses escaliers et parois en béton ciré lézardés de néons rouges, son plafond en nid d’abeille rétroéclairé déconseillé à un épileptique et surtout, grosse nouveauté, ce DJ booth sorti de sa cage, désormais central et amovible. Un nouveau terrain de jeu pour profiter du sound-system d&b de qualité allemande lui aussi mis à jour, reconnu comme l’un des meilleurs au monde, avec plus de 70 points de diffusion dans la salle. Un club 2.0 dont la prog a elle aussi repris des couleurs tout en élargissant son spectre sous la coupe du DA Antoine Molkhou, en place depuis 2019. Il suffit de mater la liste des résidents – o
A la Folie
De toutes les Folies rouges conçues par Bernard Tschumi pour la Villette, c’est la plus arc-en-ciel. Posé au début de l'automne 2015 sur le versant nord du parc, le resto/bar/club A la Folie est vite devenu une place forte de la fête queer parisienne. Son credo ? Des formats aussi divers qu’inclusifs s’étirant sur tous les fuseaux horaires et les espaces dedans-dehors du lieu. Dans la vaste salle néo-industrielle en béton, plafond coloré et métal, avec un système-son bien gaulé, se relaient chaque week-end les artistes des scènes LGBTQI+ et des collectifs locaux, tandis que sur le dancefloor, les t-shirts tombent aussi vite que les corps s’enlacent. Parmi les réguliers, on trouve la résidence gay maison Mustang ou l’entité lesbienne militante Dyke Menopause. On se souvient aussi avec tendresse des passages du Nord-Irlandais à la Hi-NRG débordante Cormac, celui de la queen Jennifer Cardini en all-night long ou des DJ de la soirée décadente berlinoise Cocktail d’Amore. Une programmation déclinée depuis 2020 avec réussite sur un format festivalier avec Bizarre, une grande célébration des scènes queers dans plusieurs salles du parc de la Villette. En parallèle de ses nuits, A la Folie fait depuis 2016 un énorme carton avec ses parties de bingo (sur entrée libre) animées par les drag-queens de la Fédération française du bingo drag apéro et notamment Minima Gesté, intestable pour chauffer les foules avec des boules. Aux beaux jours, le lieu plastronne aussi très fort avec une terra
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A Pantin, cette salle ouvre désormais au format club tous les week-ends
Nouvelle prescription pour le Dock B ! En cette rentrée post-olympique, les Parisiens vont avoir la possibilité de s’étirer sur la piste (de danse) en profitant de la déclinaison clubbing de Dock B, la salle de concerts encastrée dans le démesuré blockhaus pantinois abritant les Magasins Généraux. Récurrence hebdomaire nouvelle OK, il y a déjà du clubbing au Dock B, mais ce qui est nouveau, c’est la récurrence hebdomadaire – tous les vendredis et samedis de 23h à 7h. Pour tricoter la bande-son de cet espace béton brut tout en longueur, sept mètres sous plafond et coursive en surplomb, c’est le Bordelais Thibault Perceval, qui s’occupe notamment de l’affiche du festival Isulia, qui a été choisi. Une affiche variée avec autant de la house, de la bass music, de la trance que du dancehall. Sur les premières lignes de l’agenda, encore chiche, on repère le ravisant anglais Luca Lozano, le vieux routier Brodinski, le crew Club Buissonnière pour des choses plus syncopées ou l’Italien Kybba, qui officie dans les sphères shatta-dancehall. Quand ? tous les vendredis et samedis, à partir de 23h.Où ? Dock B, 1 place de la Pointe, 93500 Pantin. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Macki Music Festival (@mackimusicfestival)
Les 10 statues de femmes de la cérémonie d’ouverture vont être exposées à l’Assemblée nationale
Que des numéros 10. Parmi les moments les plus marquants de la cérémonie d’ouverture, le tableau sororité, qui a vu le dévoilement de dix statues de femmes dorées de 4 mètres de haut en face de l’Assemblée nationale, s’apprête à être exposé gratuitement dans la cour de cette dernière du lundi 23 septembre au samedi 5 octobre. Parmi elles, des figures classiques de la mémoire républicaine comme Olympe de Gouges ou Simone Veil. Et d’autres, bien moins consensuelles comme Louise Michel, membre de la Commune, anarchiste et féministe ; ou Gisèle Halimi, militante anticoloniale, féministe et figure de la lutte pour la légalisation de l’avortement. Deux choses à noter : alors que les 12 000 créneaux de visite ont déjà été ouverts, il a aussi été précisé que les visiteurs des Journées du Patrimoine, prévues le week-end précédent, auront aussi la possibilité de les zieuter. Pour les autres, espérons que les statues trouveront une place définitive dans l’espace public parisien, comme souhaité par nombre de voix, telle celle de la Maire de Paris, Anne Hidalgo.
Le musée du Louvre va présenter la première expo mode de son histoire
Avoir 231 ans et faire sa première fois. Dans un papier sorti mi-août par le média de mode américain WWD, on a appris que le musée du Louvre allait héberger, du 24 janvier au 21 juillet 2025, pour la toutoute première fois de son histoire, une exposition entièrement consacrée à la galaxie de la mode. 65 tenues et 30 accessoires D’après les premières infos collectées par WWD, cette rétrospective sera tricotée par Olivier Gabet, dirlo du département des Objets d’art du Louvre, et Nathalie Crinière, derrière une tripotée de scénos d’expos modeuses. Lesquels ont annoncé vouloir questionner l’influence des musées et de leurs collections sur les créateurs. Le vestiaire, qui dialoguera donc avec les œuvres du Louvre, devrait être composé de 65 tenues et 30 accessoires haute couture avec, à la volée, des créations Chanel de Karl Lagerfeld – grand arpenteur du Louvre –, ainsi que des pièces griffées Yohji Yamamoto, Dolce & Gabbana, et un focus sur Marie-Louise Carven, “la couturières des petites dames”. Fa-fa-fashion ! Quand ? du 24 janvier au 21 juillet 2025.Où ? musée du Louvre, rue de Rivoli, Paris 1er.
Le Jeu de Paume célèbre l’icône du cinéma Chantal Akerman dans une expo pharaonique
Chantal Akerman a connu l’une des trajectoires les plus curieuses et engagées du cinéma belge (et bien au-delà). Pour célébrer la cinéaste décédée en 2015, le Jeu de Paume, en collab avec trois institutions du Plat Pays, offre un brillant travelling – l’une de ses spécialités – sur ses 60 ans de carrière avec des installations, des films mais aussi des archives inédites. “Plus grand film de tous les temps” Une œuvre qui aura été une suite ininterrompue d’expérimentations formelles et de questionnements sur l’identité, le féminisme et les relations familiales. Son film le plus connu, Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles (1975), qui raconte l’aliénation au féminin, a été élu “plus grand film de tous les temps” par Sight & Sound, l’équivalent des Cahiers du cinéma en Angleterre. En parallèle de la rétrospective pure et dure, le Jeu de Paume proposera un cycle à l’affiche belle à pleurer de films de la Belge. Sur le générique, on repère aussi bien son triptyque docu composé des titres D’Est, Sud et De l’autre côté ; certaines de ses envolées américaines comme les Histoires d’Amérique ou News from Home ; ou cette clôture avec le long Je, tu il, elle, dont la présentation sera faite par la cinéaste Céline Sciamma. La classe jusqu’au bout. Pour découvrir notre dossier dédié aux plus grandes expos de la rentrée, c'est par ici. Quand ? du 28 septembre 2024 au 19 janvier 2025.Où ? Jeu de Paume, 1 place de la Concorde, Paris 8e. Voir cette publication sur I
Le Quai Branly dédie sa prochaine expo à l’imaginaire zombie avec un cycle de films du genre
C’est l’expo la plus « Pensez à jeter un coup d’œil derrière votre épaule avant de sortir » de la rentrée. Pour sa dernière rétrospective 2024, le musée du Quai Branly convie la figure du zombie sur ses cimaises et raconte ses racines – un télescopage de la culture vaudoue, des civilisations subsahariennes et de croyances catholiques – en retournant à la source, Haïti. Déconstruire les croyances L’idée est de déconstruire les croyances l’entourant – spoiler, le zombie n’est pas forcément synonyme de mort mais davantage une figure criminelle agissant dans une dimension parallèle – tout en pointant son impact dans la culture populaire. Attendez-vous à voir cela retranscrit avec des masques, des sculptures, des peintures, des costumes, des livres ou des films. Selon les premiers communiqués, il y aura par exemple le bouquin Le Zombi du Grand Pérou de Pierre-Corneille Blessebois paru en 1697 et un cycle de cinéma avec cinq projections de classiques du genre comme le pionnier White Zombie de Victor Halperin, Zombi Child de Bertrand Bonello ou La Nuit des morts-vivants de George A. Romero. Bouuuuh ! Quand ? du 8 octobre 2024 au 16 février 2025.Où ? musée du Quai Branly, 37 quai Branly, Paris 7e. Pour découvrir notre dossier recensant les meilleures expos, c'est ici. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par musée du quai Branly (@quaibranly)
Pour sa réouverture, le musée Jacquemart-André expose les chefs-d’œuvre de la Galerie Borghèse
Après un an de travaux, le musée Jacquemart-André dégaine une expo bonne à mettre une foule de tifosis en délire ! Jusqu’au 5 janvier 2025, il va accueillir les œuvres les plus cotées de la collection de la Galerie Borghèse, institution romaine qui planque dans le jardin du même nom. 42 créations de la Renaissance et de la période baroque Autant vous dire qu’on est sur du très sérieux ! Initiée par le cardinal Scipion Borghese il y a un demi-millénaire pour décorer ses T2, puis continuellement nourrie par ses descendants avant d’être vendue à l’Etat italien en 1902, la collection est devenue l’un des fonds artistiques les plus époustouflants, faisant se côtoyer œuvres antiques et les signatures contemporaines les plus iconiques. Cela nous ramène à notre expo qui ne présente que les « chefs-d’œuvre » du lot, avec 42 créations de la Renaissance et de la période baroque qui vont enjamber les Alpes. On a par exemple recensé La Dame à la licorne de Raphaël, Garçon avec un panier de fruits du Caravage, Suzanne et les Vieillards de Rubens, des sculptures du Bernin ou des créas de Titien. Bref, c’est du lourd, alors andiamo ! Pour découvrir notre dossier des expos peinture les plus attendues de la rentrée, c'est ici. Quand ? du 6 septembre 2024 au 5 janvier 2025.Où ? musée Jacquemart-André, 158 boulevard Haussmann, Paris 8e. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Musée Jacquemart-André (@jacquemartandre)
Anne Hidalgo officialise la date d’entrée en vigueur des 50 km/h sur le périphérique (jusqu’à nouvel ordre)
La parenthèse olympique à peine refermée, les affaires roulantes parisiennes reviennent à fond la caisse. Ce lundi matin, au micro de RTL, la maire de Paris, Anne Hidalgo, a annoncé que la vitesse du Périph’ serait, à partir du 1er octobre 2024, abaissée à 50 km/h – contre 70 aujourd’hui. Cette mesure, censée réduire la pollution atmosphérique et sonore et dans la boîte à gants de la majorité depuis un an déjà, fait tiquer les différentes strates administratives de l’État. Le tout avec une question totémique : qui aura le dernier mot ? Seul l’État peut changer le Code de la route Si l’équipe municipale n’a cessé de rappeler son autorité sur cette décision, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, évoquait en mai « pouvoir imposer un certain nombre de prescriptions ». Et surtout, les ministres des Transports successifs (Clément Beaune puis Patrice Vergriete) ont toujours émis des réserves sur le projet, avec un atout maître dans leur manche : seul l’État peut changer le Code de la route et surtout régler les radars ! On ajoutera l’opposition de la droite municipale, qui n’a pas tardé à tacler, dans une publication sur X, une décision « décidée unilatéralement […], [qui] ne respecte aucune des préconisations préalables du rapport de la mission d’information sur le périphérique de 2019 auquel elle se réfère ! » Bref, quelque chose nous dit que la nouvelle règle a encore de quoi évoluer d’ici au 1er octobre.
Cet automne, l’incontournable chaîne YouTube Colors lance son premier festival à Paris – et invite plein de gros noms
Parmi les plateformes musicales les plus léchées de l’époque avec ses clips minimalistes d’artistes qui chantent devant un micro suspendu sur un fond monochrome, COLORS s’apprête à déteindre sa formule en festival. Après une session à New York, le studio berlinois poursuit sa série d’événements Tones à la Seine Musicale du 21 au 27 octobre, déclinant une affiche pluriartistique entre mode, art, conférences et, climax de la semaine, concerts. James Blake et la new gen du rap Pour la BO, COLORS en met plein les yeux en réunissant des noms ronflants bien souvent passés sur sa chaîne les 26 et 27 octobre. En tête de flyer le vendredi : une date rare au piano du Brit esthète des fréquences électroniques James Blake, (qui vient de lancer son label CMYK, sans doute pas un hasard). Avec lui : l’artiste palestinien Saint Levant ou le groupe polyphonique sud-af The Joy et ses titres qui mettent les poils. Et le samedi, une bien belle brochette rap nouvelle génération avec Tif, rappeur algérien parmi les plus beaux formats live du moment, le prince de la trap du 91 Koba LaD, ou le furibard Jolagreen23, un plateau complété par la néo-souliste américaine Samara Cyn et le rappeur londonien Bawa. Le tout devrait être enrubanné d’une scénographie made in COLORS, qui fera encore des heureux au service commercial de Pantone. Quand ? du 21 au 27 octobre 2024, concerts les 26 et 27.Où ? Seine Musicale, île Seguin, 92100 Boulogne-BillancourtCombien ? à partir de 64,20 € (Billetterie ici).
Au musée d’Orsay, Gustave Caillebotte raconte le Paris du XIXe en peintures
Des ouvriers rabotant un parquet, un ami rêvassant à son balcon, un inconnu qui fait sa toilette… Gustave Caillebotte, contrairement à ses amis impressionnistes dont il fut le mécène, aimait représenter des hommes dans la banalité de leur existence. Deux ans après sa retentissante acquisition de la toile Partie de bateau, et alors qu’on célèbre les 130 ans de sa mort, le musée d’Orsay propose du 8 octobre 2024 au 19 janvier 2025 une rétrospective originale de l’œuvre de ce peintre. 70 peintures, dont la fameuse Partie de bateau En se penchant sur l’œuvre de Caillebotte, on découvre un témoignage exceptionnel et puissant de la vie quotidienne du Paris du XIXe, tout autant qu’un – déjà – questionnement de la place du masculin dans ce siècle où tout est bouleversé (les transports, les communications, les villes…). Pour figurer la thématique, Orsay présentera près de 70 peintures, dont la fameuse Partie de bateau, mais aussi le rare Rue de Paris, temps de pluie (1877), un tableau XXL nous plongeant dans le nouveau Paris d’Haussmann – ces immeubles à double rangée de balcons, ces grandes artères et ces passants en redingote et haut de forme déambulant sous des parapluies gris métallisé – exposé d'habitude à l’Art Institute de Chicago. L’autre attrait de l’événement concerne le legs Caillebotte. A sa mort en 1894, le mécène avait filé à l’Etat sa collection – du très lourd, avec des Cézanne, Degas, Pissarro ou Renoir – à condition qu’elles soient exposées “au Louvre ou au Luxembou
Le Macki Festival revient pour un week-end gratuit dans un parc de 15 hectares
C’est le plus doux de tous les afters. Comme depuis huit ans, le Macki, cette union festivalière du label Cracki et du collectif La Mamie’s, s’apprête à ensoleiller votre rentrée avec son Off gratis, qui s’ébrouera les 14 et 15 septembre dans les 15 hectares du parc de la Bergère de Bobigny. Une dizaine d’artistes électroniques Sur les deux jours, de 14h à 23h, ce sont une dizaine d’artistes électroniques qui se relaieront pour mettre du son, sur des fréquences assez élastiques. Outre les tenanciers de La Mamie’s, on sera bringuebalés par le Norvégien Skatebard aux ectasiques balles italo, la rebondissante selecta du résident de La CREOLE Sylvère, ou celle ultra-lâche de Naomi Clément, mêlant bass music, baile funk et remix dingos. On est aussi pas mal curieux de voir ce que donneront les formules live de la productrice new gen Waralu et du rappeur franco-camerounais Mikano. Et comme lors du festival, des croisières dansantes (oui oui) vogueront depuis le quai de la Loire avec notamment à la barre les zozos de Cracki. Bonne rentrée. Quand ? samedi 14 et dimanche 15 septembre 2024 (14h-23h et 14h-22h).Où ? parc de la Bergère, chemin Latéral, 93000 Bobigny.Combien ? Gratuit.
Pour la clôture des Jeux paralympiques, toutes les piscines parisiennes seront accessibles gratuitement ce dimanche !
Un dernier adieu à votre summer body ? A l’occasion de la clôture des Jeux paralympiques de Paris ce dimanche 8 septembre (on vous cause de la programmation ici), la mairie de Paris a annoncé que toutes les piscines municipales seraient accessibles gratuitement ! Ne reste qu’à choisir votre bac à chlore : les plus chauds (sachant qu’il fera 19 et qu’il risque de pleuvoir – mais bon, y en a qui ont nagé dans la Seine) pourront se retrouver dans les bassins découverts – de 50 mètres s’il vous plaît – Roger Le Gall dans le 12e et Georges Hermant à côté des Buttes-Chaumont, lequel se rhabillera ensuite pour l’hiver. Pour embellir vos stories Insta, on vous conseille d’aller poser à la piscine de la Butte-aux-Cailles dans le 13e ou celle des Amiraux dans le 18e, toutes deux classées monuments historiques. Et pour faire comme à la télé, direction la piscine Georges Vallerey dans le 20e, théâtre des épreuves de natation des JO 1924 (Johnny “Tarzan” Weissmuller y a gagné trois titres), qui a rouvert ses lignes en avril dernier après des années de travaux. Voilà de quoi vous la couler douce (et à l’œil) ce dimanche !
Le festival Play It Again programme une avalanche de films cultes autour de la fête
Grosse ambiance en prévision cette année au Play It Again, ce festival qui projette sur grand écran des classiques du cinéma restaurés. Du 18 septembre au 1er octobre 2024, l'événement est de retour pour une 10e édition dans 300 cinés en France (dont plusieurs à Paris) autour de la thématique « Que la fête recommence ! ». Pour le line-up de DJ (surtout des mecs en ces temps reculés), les programmateurs ont aligné des grands classiques, des blockbusters mais aussi des perles plus pointues et des refs pour les gosses. Sur le générique se croisent par exemple La Boum de Claude Pinoteau, French Cancan de Jean Renoir, Le Magicien d’Oz de Victor Fleming, Grease de Randal Kleiser, la version director’s cut du docu sur Woodstock de Michael Wadleigh, et quand même un programme sur les films d’Alice Guy, la première réalisatrice de productrice de l’histoire. Du très solide. Cette dixième édition sera marquée par un anniv : celui des 100 ans de la disparition de Marcello Mastroianni. Pour rendre hommage à cet italo-héros du cinéma, Play It Again propose de le revoir dans ses plus grands rôles avec les diffusions de La Dolce Vita de Federico Fellini ou La Grande Bouffe de Marco Ferreri, où il partage des agapes orgiaques avec Philippe Noiret, Michel Piccoli et Ugo Tognazzi. Il est où l’after ? Quand ? du 18 septembre au 1er octobre 2024.Où ? dans 300 cinémas en France.