Romane Levi

Romane Levi

Listings and reviews (21)

Sando Club

Sando Club

4 out of 5 stars

Pour qui ? Les amateurs de street food nippone.Plat culte ? Les sando, ces sandwichs faits à partir de pain de mie japonais maison.Au pays du Soleil-Levant, le sando est le chemin qui mène aux temples bouddhistes. Bouddhiste, on ne sait pas, mais temple du Hokkaido milk bread on n'en doute pas ! Tous les matins, Doriane (ex-Popine) fabrique religieusement ce pain : une miche de pain nature ou aux céréales, au lait et à la crème, tellement moelleuse qu’on poserait bien sa tête dessus. Ce midi-là, dans une déco tout en carrelage blanc, chats kawaii et poster de Kendrick Lamar, on croque entre deux tracks de G-Funk dans ses divins sandwichs japonais. Impossible de passer à côté du torikatsu (12 €) : escalope de poulet frit, pané dans du panko (chapelure ultra-croustillante) et sésame noir, mix de choux rouge et blanc crus, carottes et salade, le tout enrobé dans une sauce bulldog – ketchup brun, épais, sucré et épicé. Bim ! Autre petite tuerie, le pulled beef (12 € itou), un bœuf braisé cuit à basse température pendant des heures, avec le même mélange et sa sauce hoisin. Qu'on ait la foi ou pas (coucou Ophélie), ce parfait rapport entre pain et garniture, croustillance et moelleux, salé et sucré, nous conduit tout droit aux portes du paradis. Le week-end, vous pouvez aussi bruncher pour 27 €. Au programme, notamment : un tori-katsu décliné en assiette, avec riz, crudités, vinaigrette yuzu, wakame (ou soupe miso), pickles et pancakes au matcha. A accompagner d'une boisson chaude,

Beefbar Paris

Beefbar Paris

4 out of 5 stars

Pour qui ? Les mecs qui veulent impressionner leurs copines, les grands-parents, les m’as-tu-vu.                         Plat culte ? La viande bien sûr !  Comme cette hampe de 250g de bœuf Black Angus Prime (nourri au maïs 150 jours), et servie avec une purée maison. Sortez vos sacs Chanel les filles, c’est ici que vous allez pouvoir vous montrer ! Installés entre un footballeur brésilien et un acteur italien, dans un cadre Art nouveau mêlant dorures, fresques, marbre, moquette et végétation, tout le monde vient pour la même chose, la barbaque ! Riccardi Giraudi, à la tête de cet empire viandard, n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il fait déjà saliver les palais d’une clientèle aisée de Monaco à Hong Kong, en passant par Dubaï ou Mykonos. C'est aussi lui qui a lancé Anahi, autre temple de la bichoche branchée. A la carte, des viandes et morceaux d’exception, nourris entre 120 jours pour la viande française de la Vallée des Volcans et jusqu’à 900 jours pour le bœuf de Kobe. Vous avez malencontreusement invité votre date végétarienne ? Pas de panique, un choix de plats sans viande est également possible comme ces raviolis au gorgonzola et à la crème de truffe (27 €) ou ce loup croustillant au poivre de Sichuan (49 €). Nous, concentrons-nous sur la viande avec un fondant d’entrecôte de 200g (37 €) et une hampe de 250g (33 €) de bœuf Black Angus Prime (nourri au maïs 150 jours), tous deux servis avec une purée maison. Alors oui, c’est cher, mais tout est plus que maîtrisé :

Fumé

Fumé

4 out of 5 stars

Pour qui ? Les amateurs de viande (et poissons) fumés, ceux qui mangent casher.      Plat culte ? Le travers de bœuf fumé (22 €) ou l'iconique pastrami à la texane Du nouveau à l'Ouest ! Avec cette nouvelle smokehouse ricaine et casher fumant bœuf, poulet mais aussi poisson. Déco façon West Village, tout en bois et végétal, et aux fourneaux Ruben Sarfati, ex-candidat de Top Chef (2012) qui n'oublie pas non plus vos 5 légumes/jour, en provenance directe de sa ferme, l’AEpicure, située en région parisienne. Artichauts frits à la juive, frites de patate douce, brocolis en vinaigre moutarde, purée de topinambour truffée… Miam !En entrée, comme le veut la tradition, c’est un assortiment de kemias (20 €) qui nous est proposé avec de petits pains pitas tout juste sortis du four : pois chiche pimpés de citron confit, poivrons marinés comme chez tonton René, compact houmous à la tomate séchée, pomme de terre et œuf mollet et rafraîchissante salade de quinoa, grenade et amandes fumées. Vient ensuite la star du lieu : la barbaque. Qui a déjà mangé une viande casher, vidée de tout son sang, sait comme la cuisson peut être compliquée. Et si la fumaison était la solution ? Le travers de bœuf (22 €) et l’entrecôte fumée (24 €) en sont la preuve : ultra tendres et au bon goût de fumé ! Vraiment dommage que les accompagnements ne soient pas inclus dans le prix (comptez 7 € de plus pour un side), et que 50% du travers de bœuf était en fait... du gras. Bon point pour finir ? Pas les desserts (l

Street Bangkok Roast & Beer

Street Bangkok Roast & Beer

4 out of 5 stars

Pour qui ? Toi, qui salives en rêvant d'un vrai bon canard laqué... à prix accessible.  Plat culte ? Le coin-coin suscité ! Saumuré dans un bain d’herbes et d’épices, laqué, séché puis rôti à la flamme. Et servi avec une sauce aigre-douce pêche/abricot. Et de trois ! Après l'adresse sur le canal et celle de Bastille, Street Bangkok se dote cette fois d’un spot monomaniaque de la rôtisserie, et plus particulièrement du canard laqué. Tout est fait pour qu’on s’y croie : mur destroy, portraits du roi, petits tabourets en plastoc anticonfort au possible, tables de boui-boui...  Au menu, de la bidoche rôtie et laquée à la flamme, parfaitement cuite et tendre. Si vous n’êtes pas trop canard, poulet rôti et porc sont aussi au rendez-vous. En fonction de votre appétit, choisissez une small barquette (9-12 €), une medium barquette (12-15 €), ou une large barquette (16-21 €), puis votre viande. Ce qui claque ? La sauce qui les accompagne : pêche/abricot toute douce pour le canard laqué, riz croustillant à la citronnelle, tamarin et pousses vertes aigre-douces pour le poulet rôti ; et miel de fleurs des montagnes, gingembre et écorce d’orange pour le porc laqué. Dommage pour le riz à n’en plus finir (gâchis).  Toujours pas convaincu(e) ? Alors commandez un copieux et savoureux pad see ew (10 €), ces nouilles de riz ultralarges et enveloppées dans de la sauce soja. Pour la soif : bières du monde à tarifs raisonnables (Singha à 3,50 €, Erdinger bavaroise à 3 €, BrewDog écossaise à 5 €…)

Pidè Paris

Pidè Paris

4 out of 5 stars

Pour qui ? Les curieux qui ont envie de changer de l’éternelle pizza napolitaine.Plat culte ? La pidè Sucuk, au fromage kasar, saucisse de bœuf et mâche (9 €). Et un énième bouiboui qui vient d’ouvrir dans le quartier le plus cosmopolite de Paris, aka SSD, j’ai nommé Pidè, temple des pizzas turques. Kézako ? Une pizza à base de pâte à pain crousti-moelleuse, en forme de navette et aux rebords bien dodus, cuite dans un four à pierre électrique. Encerclées d’affiches de films toutes plus kitchs les unes que les autres, on commence par s’encanailler de la bière nationale turque, une Efes au bon goût de miel. Sur les conseils du maître pidè, nous commandons deux des pidès les plus réputées en Turquie à savoir la Féta-Roka, une veggie à base de fromage kasar, roquette, féta, tomate (8 €), et la Sucuk, prononcée Soudjouk, renfermant fromage kasar, saucisse de bœuf et mâche (9 €). Grosse régalade pour la pidè à la saucisse de bœuf bien parfumée et fromage filant salé au lait de brebis rappelant le goût de la feta. Un peu déçues par contre par la Féta-Roka avec sa tomate hors saison sans goût, qui se laisse tout de même manger grâce à la pâte à pain à base de farine Label Rouge bien kiffante.

46 & 3rd

46 & 3rd

4 out of 5 stars

Pour qui ? Les aficionados du brunch all day long ! Plat culte ? Les Applejack pancakes à la levure fraîche (13 €) Peu importe l'heure ou le jour. Chez 46 & 3d (prononcer « forty six and third »), on brunche toute la semaine, de 9h à 17h (mais sur résa s’il vous plaît !). En lieu et place de Cantine California, Danielle Donnelly et Serra Borancili, ex-Ferrandi, ont bricolé un bien cool resto-coffee shop. Abréviation anglaise pour 46 (le numéro de la rue dans lequel planque cet OVNI), et 3e (parce qu'implanté dans le 3e arrondissement), ce made in L.A aligne à la carte tous les gimmicks de l'époque : des avocado toast et des divins pancakes, parmi les meilleurs de la capitale, qu'ils soient sucrés (chantilly/fruits rouge ou applejack), ou salés (œufs brouillés et bacon). Big up également pour les produits bien sourcés, notamment les viandes Metzger et les pains de la boulangerie Bo&Mie. Plus de chakshouka ce jour-là ? Damn on opte pour le duo d'œufs Benedict au saumon (15,50 €) qui nous en bouchent un coin avec la sauce hollandaise parfaitement exécutée, l'avocat bien citronné et ce saumon mariné maison. Mais aussi le smoky bowl aux 5 céréales (15 €), salade de caviar d’aubergine, toppée de pépins de courge toastés et d’un œuf mollet, qui fait clairement son effet : mœlleux, croustillant, rafraîchissant... Bref, une tuerie !  Pour faire péter l'indice glycémique, plusieurs options dont ce cookie choco/noisette (3,75 €) épaisseur king-size, ou ces Applejack pancakes (13 €) à

Iovine's Marais

Iovine's Marais

3 out of 5 stars

Pour qui ? Ceux qu ont la flemme d’attendre leur table au Café Charlot. Plat culte ? Allez, la pizza à la truffe ! L’humeur actuelle est au pizzaiolo tatoué, casquette à l’envers et pizzas au feu de bois ? Nicola Iovine, pizzaïolo napolitain multirécidiviste (Iovine’s Louvre, Nanterre et Bon Marché à Paris, mais aussi Iovine's Holy Food Market à Gent, en Belgique) n’échappe pas à la tendance. Dans son dernier joujou du Haut Marais, agencé tout en longueur, une bonne odeur de pâte chatouille nos narines depuis la rue. Four à bois de compète, produits tout-bio... On aurait pu y croire deux secondes, mais c’était sans compter sur une incalculable attente avant de pouvoir passer commande (une bonne demi-heure), et des pizzas mollassonnes à la garniture généreuse mais pas très goûteuse. Témoin cette Quatre fromages, intitulée ici "2 più 2" (17 €), mariant mimolette et beaufort franchouillards, avec ricotta et mozzarella de buflonne fumée. Idem pour celle "al Tartufo" (truffe et mozza de buflonne D.O.P., 18 €). On en espérait davantage avec les desserts mais encore une fois, c’est raté : le tiramisu (8 €) est trop léger et le baba au rhum (8 €) trop imbibé de rhum ! A d’autres. Après tout, c'est pas comme si Paris manquait de vraies bonnes pizzerias. 

L'Escargot 1903

L'Escargot 1903

5 out of 5 stars

Pour qui ? Ceux qui veulent impressionner leur date avec un menu gastronomique hyper abordable.Plat culte ? L’œuf fermier en entrée, la tarte au citron en dessert.Passez le périph'. A deux pas de La Défense, ce gastronomique n'attire pas seulement les cadres cravatés venus en voisins pour des déj d’affaires. Et pour cause : repris de main de maître par le tout jeune Paolo Boscaro, il avait obtenu une étoile en février 2017... Perdue après le départ du chef prodige. Depuis septembre dernier, le ténébreux Yannick Tranchant le remplace. Rejoindra-t-il la galaxie étoilée en 2019, on sait pas, mais OUI, il faut vraiment y aller. Déjà, parce que les prix sont riquiqui : 30 € pour la formule entrée/plat ou plat/dessert, et 39 € pour le menu entrée/plat/dessert... Qui dit mieux ? Ensuite parce que le cadre et le service devraient être copiés partout ailleurs : une petite maison accueillant une cuisine ouverte, un service jeune et dynamique aux petits oignons, un cadre cosy, chaud, envoûtant. Et enfin parce qu’on y mange bien ! Très bien même. Une popote gourmande, mêlant tradition française et modernité. Notre menu (à 39 € donc) aligne en entrée un œuf fermier aux champignons sauvages, noisettes et parmesan, tout bonnement renversant. Niveau visuel, texture et saveurs, on se croirait dans les sous-bois ! R.A.S pour le quasi de veau, escorté de macaronis gratinés au brocciu et de girolles : cuisson parfaite, assaisonnement maîtrisé. Les desserts sont le clou du spectacle. Et pour caus

Homies

Homies

5 out of 5 stars

Pour qui ? Un picoreur/une picoreuse pas fâché.e avec les cocktails !Plat culte ? Tout ! Les mac and cheese sticks, le chou-fleur rôti, le tacos de gigot d’agneau... Tout est bon ! Celui-là, il était bien planqué, dans une petite rue vers Saint-Paul. Diminutif de home mates en anglais ("les colocs"), Homies est un cool petit resto, dont le credo est probablement "les copains d'abord". A l'entrée derrière le comptoir en acier, Marco, sur-sympathique taulier, gère la playlist (le sublime Qué Lio de Willie Colón), tout en jouant du shaker quand Nico n'est pas là. Le genre de planque qui fait du bien à l'âme et au corps. Surtout que dans ce coin du Marais historique, y'a pas grand-chose à se mettre sous la dent.Ici, pas de grands plats, la convivialité est reine et les petites assiettes se démultiplient. Nos reco ? Le chou-fleur rôti (10 €), avec purée de courge, grenade et sumac  : cuisson nickel (moelleux à l’intérieur, croustillant à l’extérieur), et parfaitement assaisonné ! Mais aussi ce p.... de kebab de gigot d’agneau (14 €) qui fond dans la bouche, gentiment réveillé par la salsa à l’ananas (malin !). Quant aux mac and cheese sticks (10 €), la magie de la junk food opère sans problème. Juste un bémol sur le tiradito de bar (14 €), un peu grossier. Sel et poivre auraient suffit à faire de ce petit plat un grand. Calme le midi, l'adresse mute en gastrobar péchu le soir, grâce à cette fabuleuse carte des cocktails qui fait monter le niveau sonore. Rassurez-vous : vous n'aur

Homies

Homies

5 out of 5 stars

Pour qui ? Un picoreur/une picoreuse pas fâché.e avec les cocktails !Plat culte ? Tout ! Les mac and cheese sticks, le chou-fleur rôti, le tacos de gigot d’agneau... Tout est bon ! Celui-là, il était bien planqué, dans une petite rue vers Saint-Paul. Diminutif de home mates en anglais ("les colocs"), Homies est un cool petit resto, dont le credo est probablement "les copains d'abord". A l'entrée derrière le comptoir en acier, Marco, sur-sympathique taulier, gère la playlist (le sublime Qué Lio de Willie Colón), tout en jouant du shaker quand Nico n'est pas là. Le genre de planque qui fait du bien à l'âme et au corps. Surtout que dans ce coin du Marais historique, y'a pas grand-chose à se mettre sous la dent.Ici, pas de grands plats, la convivialité est reine et les petites assiettes se démultiplient. Nos reco ? Le chou-fleur rôti (10 €), avec purée de courge, grenade et sumac  : cuisson nickel (moelleux à l’intérieur, croustillant à l’extérieur), et parfaitement assaisonné ! Mais aussi ce p.... de kebab de gigot d’agneau (14 €) qui fond dans la bouche, gentiment réveillé par la salsa à l’ananas (malin !). Quant aux mac and cheese sticks (10 €), la magie de la junk food opère sans problème. Juste un bémol sur le tiradito de bar (14 €), un peu grossier. Sel et poivre auraient suffit à faire de ce petit plat un grand. Calme le midi, l'adresse mute en gastrobar péchu le soir, grâce à cette fabuleuse carte des cocktails qui fait monter le niveau sonore. Rassurez-vous : vous n'aur

Tempilenti

Tempilenti

4 out of 5 stars

Pour qui ? Les amoureux de la cuisine de la Botte sans chichis. Plat culte ? Le vitello tonnato en entrée et le plat de spaghettis au beurre, anchois et pain. Imaginez un bistrot italien perdu près du cimetière Père Lachaise où l'on se régalerait simplement de bons plats de pâtes de Francesca, sarde d’origine. Imaginez un endroit encore méconnu, à l’abri des regards indiscrets et du tumulte bobo parisien. Maintenant, imaginez que cet endroit existe et régalez-vous. De l’entrée au dessert, en passant par le vin, embarquez pour un voyage sous le doux soleil de la Botte. Mise en jambes avec un vitello tonnato (12 €) parfaitement exécuté, puis des scialatielli, sortes de pâtes ressemblant aux fettuccine, livrées à poil ou presque, et al dente bien sûr : tomates San Marzano, menthe fraîche et ricotta fumée (16 €)... Ça sent bon le Sud de l'Italie ! Très recommandables également, ces rigatonis au ragoût de cochon (16 €) mijotés pendant plusieurs heures. Les pâtes changent tous les jours donc ne soyez pas déçus, il faudra déjà penser à revenir prendre le temps de goûter à tout chez Tempilenti. Desserts plus vite vus, mais notons quand même la qualité des produits utilisés. A l'instar de cette mousse au chocolat (8 €), corsée, juste assaisonnée d’un trait d’huile d’olive de Sardaigne et de fleur de sel. Bon point.

Pane Olio e Pomodoro

Pane Olio e Pomodoro

4 out of 5 stars

Pour qui ? Les amoureux de la cuisine italienne della mamma, celle qui est copieuse et qui a du goût. Plat culte ? Les gnocchis à la crème de truffe (18 €) Pane Olio e Pomodoro ? Du "pain, de l’huile, et de la tomate" ! C'est la recette de la bruschetta de base. Dans ce petit resto italien du 11e arrondissement, décoré façon épicerie avec ses bouteilles de vins au mur, on vous sert des produits de la Sardaigne natale de Stefano, le taulier, également aux manettes de Terre Rosse, un peu plus loin sur l'avenue Parmentier. Le credo : de bons produits et des assiettes ultra copieuses. En ce mois de décembre, on fête la truffe ! Produit de saison par excellence. On craque donc en entrée pour la bruschetta Taleggio, Prosciutto, Porcini e Tartuffo (15 €), généreuse et odorante, alliant truffe, champi, jambon fumé et fromage de la Botte. Pour continuer sur notre lancée toute-truffe, on enchaîne avec des linguine à la truffe fraîche (24 €) servies à même la casserole : crémeuses, onctueuses, et encore une fois copieuses, trèèès copieuses ! Fâchés avec la Tuber melanosporum ? Rabattez-vous sur les linguine aux gambas (19 €), sauce tomate, ail et persil, qui ne nous ont pas déçues non plus. Normalement, vous ne devriez plus avoir faim pour les desserts, et c’est tant mieux car ils sont plutôt oubliables.