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Alexandre Prouvèze

Alexandre Prouvèze

Alexandre Prouvèze is Time Out's former Paris Web Editor.

Articles (41)

Les 61 meilleurs films d'horreur de l'histoire du cinéma

Les 61 meilleurs films d'horreur de l'histoire du cinéma

Si plus rien ne vous fait peur, c’est que vous n’avez pas tout vu. Pour vous, on a fouillé dans tous les coins sombres et derrière chacune des portes condamnées que compte le cinéma d’épouvante. Depuis, on ne dort plus beaucoup la nuit. Mais on est revenu de l’Enfer avec le paradis des amateurs de films d’horreur : une collection extra-large et particulièrement inquiétante des 61 plus grandes œuvres du genre. Souvent snobés par la critique et les grandes cérémonies (moins de dix ont été nommés aux Oscars dans la catégorie du meilleur film), les films d’horreur ont pourtant souvent redoublé d’inventivité technique et scénographique (pensez au décor de Suspiria), vu briller d’incroyables acteurs – de Jack Nicholson à Isabelle Adjani –, et surtout fait frémir des millions de spectateurs. Si vous êtes prêts à trembler à votre tour, on vous invite à commencer sans trop tarder (va faire tout noir !). Sinon, on vous conseille de vous diriger vers notre sélection des meilleurs films d’amour, ou des meilleurs films français… Mais rien ne vous fait peur, non ?

Les 62 meilleurs films d'amour de l'histoire du cinéma

Les 62 meilleurs films d'amour de l'histoire du cinéma

Vous savez ce qu’on dit : il y a autant de formes d’amour que de personnes qui en donnent, ou que de moments dans le temps. L’histoire du cinéma, entrelacs vertigineux de points de vue et d’instants volés à l’éternité, en témoigne largement. Si l’idée de romance est un rien galvaudée, le genre n’en a pas moins été propice à l’éclosion de maints chefs-d’œuvre. Des passions empêchées du couple Bogart-Bergman dans Casablanca (1942) aux folles aventures de Sailor et Lula (1990), les films romantiques bouleversent quand ils parviennent à peindre trait par trait les différents visages de l’amour, à travers à des personnages qui finissent souvent par devenir des mythes. Pour cette sélection de 62 films d’amour, on a bien sûr puisé dans l’inépuisable sous-catégorie de la comédie romantique, au détour de laquelle on s’est plu à retrouver Antoine Doinel, Harry, Sally, Annie et tous les autres, avant de passer de l’autre côté du miroir, rayon drame, avec son lot d’amours déçues et de passions tristes. Mais la catégorie du film d'amour ne se limite pas à ça : le genre sait aussi merveilleusement s'acoquiner avec le western chez Ang Lee, le réalisme de Kechiche ou la comédie musicale made in France chez Jacques Demy. De quoi vous remettre un peu de baume au cœur après vous être envoyé notre sélection des meilleurs films d’horreur… 

Les 100 meilleurs films français de tous les temps

Les 100 meilleurs films français de tous les temps

Si les paillettes d’Hollywood nous le font parfois oublier, il est bon de rappeler que le cinéma a été inventé par les Français, et que l’histoire du 7e art doit beaucoup au regard et au savoir-faire hexagonal. Là-dessus, on s’est demandé quels étaient les meilleurs films français jamais créés. Débat épineux s’il en est : il aura bien divisé la rédaction – et brisé bien des ego –, et on sait que vous nous ferez le plaisir de remuer le couteau dans la plaie dans la section commentaire (QUOI ?! Vous n’avez pas mis Les Visiteurs dans le classement ?! Je déteste les Parisiens !!, etc.) Lâchez-vous : votre avis nous intéresse (mais restez polis). De Renoir à Méliès en passant par Varda, Carax, Godard, Denis ou Kechiche, vous trouverez donc dans ce classement, modestement dicté par nos émotions et tempéraments, les 100 films français préférés de Time Out Paris, entre classiques des années 60 et pépites du cinéma moderne. Pour n’oublier personne et faire plaisir à tout le monde, on est allé fouiner dans le cinéma d'auteur avant de se perdre aux confins de l'horreur, sans oublier de faire un détour par la science-fiction ou vers les cimes du romantisme… Bonnes séances !  

Jean-Luc Godard en 13 films

Jean-Luc Godard en 13 films

Putain, Dieu est mort. De ses débuts comme étendard de la Nouvelle Vague à ses plus récentes créations, plus expérimentales que jamais, le cinéaste franco-suisse Jean-Luc Godard n’aura cessé de définir les codes du cinéma pour mieux les distordre. Sa filmographie, garnie de dizaines de films aussi divers qu’intrigants, a des faux airs de manifeste absolu du cinéma. On a décidé de rendre hommage au maître en sélectionnant treize films, pour nous les plus essentiels. Parmi eux : À bout de souffle (génie de la modernité cinématographique), Le Mépris (classique immédiat devenu légendaire en empilant les scènes mythiques), Histoire(s) du cinéma (une somme de films autour du septième art en guise d’oraison) ou Adieu au langage (où il se moquait de sa propre mort…). Egalement au menu de votre Godardthon du week-end, Alphaville (film de SF qui joue avec les codes des pulp magazines ou du roman noir) et Détective (polar dérangeant autour du couple Johnny Hallyday-Nathalie Baye). Si vous pensez n'avoir jamais rien compris à JLG, ce dossier est fait pour vous !

50 œuvres d'art incontournables à Paris

50 œuvres d'art incontournables à Paris

On ne compte plus les expositions que tout Paris a vues, que tout le monde a vues, qu'il faut avoir vues. Au risque, parfois, d'occulter les autres trésors que renferment les musées parisiens, notamment au sein de leurs collections permanentes. Time Out Paris a voulu se pencher sur ces œuvres, toujours fidèles au poste, qui s'exposent du matin au soir au Louvre, à Orsay, au Centre Pompidou ou au Quai Branly, mais aussi dans des lieux moins connus. En choisissant 50 pièces (avec parfois l'aide précieuse de conservateurs), le but n'était pas d'être exhaustif, ni de cataloguer les chefs-d'œuvre les plus célèbres de la capitale. D'ailleurs, au fil de cette expédition artistique, nous n'avons croisé ni La Joconde, ni La Victoire de Samothrace, ni La Dame à la Licorne, dont il nous paraissait presque superflu de souligner l'écrasante célébrité. Et puis l'exercice l'ordonnait : il a fallu faire des choix, guidés par la curiosité qui nous a parfois poussés à aller chercher l'inattendu, l'improbable, l'oublié.Si nous avons essayé de nous limiter à des œuvres qui restent constamment présentes dans les collections parisiennes, difficile de le garantir : l'une aura pu être prêtée à un musée à l'autre bout du monde, tandis qu'une autre sera peut-être partie se refaire une beauté dans le labo d'un restaurateur.Bref, tout cela est parti d'une envie très simple : faire découvrir ou redécouvrir des œuvres qui se distinguent par leur composition, leur beauté, leur étrangeté ou le contexte dans

Dry January : les films à voir pour arrêter de boire

Dry January : les films à voir pour arrêter de boire

Eh oui, on le connaît tous ce moment un peu gênant, vaguement humiliant (alors qu’il n’est, au fond, que banalement organique), où l’on se dit que ça y est, c’est décidé, on ne nous y reprendra plus : on arrête de boire. Ou en tout cas, de boire autant. Au moins pour quelques jours... Parce que terminer l’année en vomissant des litres d’alcool sur la porte des toilettes (mais qui a eu l’idée saugrenue de la fermer ?), c’est quand même vraiment pas classe. Et le fait que ce soit du champagne n’y change absolument rien. Voici donc, pour vous aider dans vos bonnes résolutions, notre top des films qui vous feront arrêter de boire ! 

Quand le repas tourne à l'aigre : les pires scènes de dîner au cinéma

Quand le repas tourne à l'aigre : les pires scènes de dîner au cinéma

En prévision des festivités de faim d’année, et en attendant la réouverture des restaurants, Time Out Paris a décidé de vous régaler en vous mitonnant une petite sélection autour d’un grand classique du cinéma : les scènes à table. Pour ce faire, on a réduit le spectre (oui oui, on n’est pas fous) en se limitant aux pires repas… Ou quand le dîner tourne à l’aigre ! Des gueuletons à la casbah ou au restaurant, fastueux ou carrément modestes… Sombres, chelous ou tristement drôles, voici nos préférés. A streamer jusqu’à la boulimie !

François Truffaut en 19 films cultes

François Truffaut en 19 films cultes

Disparu il y a plus de trente ans, François Truffaut se voit honoré par le mastodonte des plateformes de streaming : Netflix. La firme américaine a signé un partenariat avec MK2 pour pouvoir piocher dans son catalogue de classiques, qui contient 12 films du plus famous des cinéastes de la Nouvelle Vague. Parmi eux ? La saga centrée sur l'alter ego de Truffaut, Antoine Doinel – interprété par l'impressionnant Jean-Pierre Léaud –, dont le premier volet, Les Quatre Cents Coups, est le manifeste esthétique et le fer de lance de la Nouvelle Vague naissante (A bout de souffle sortira l'année suivante). Chez Time Out, en fans inconditionnels du bonhomme, il ne nous en fallait pas plus pour revenir sur la carrière du réalisateur et vous proposer non pas 12 mais 19 films truffaldiens à mater sur son canapé. A vous les studios ! Les douze films à streamer sur Netflix : Les Deux Anglaises et le Continent, La Femme d’à côté, La Peau douce, Le Dernier Métro, Les Quatre Cents Coups, Baisers volés, Tirez sur le pianiste, L’Amour en fuite, Jules et Jim, Vivement dimanche !, Fahrenheit 451 et Domicile conjugual.

Les films cultes préférés des Parisiens

Les films cultes préférés des Parisiens

Voici le classement des plus grands films cultes des Parisiens, réalisé d'après plus de 2000 votes des lecteurs de Time Out Paris. D''Alien' à 'West Side Story', en passant par 'Scarface', 'Pulp Fiction', 'Taxi Driver', 'Les Demoiselles de Rochefort' ou 'The Big Lebowski', les meilleurs films cultes d'hier et d'aujourd'hui se retrouvent et font la course !

How to do Montmartre in 24 hours

How to do Montmartre in 24 hours

A day in Montmartre will probably kick off at Abbesses metro station (line 12). At 36m below ground, this hillside tube stop is in fact the deepest station in Paris, so we won’t judge if you take the lift up to street level. Emerging from your mole-like underground state into the humming centre of Montmartre will most likely be a rude awakening. Visiting school groups thronging the streets, buskers churning out Parisian ‘classics’, street vendors thrusting plastic Eiffel Towers in your face: it’s hardly the most relaxing scene. But today you’ll move away from the crowds and explore the lesser known side of the quaint northern neighbourhood.  

Les meilleurs films de 2016

Les meilleurs films de 2016

En marge de nos collections de films français, de films d'amour, d'horreur ou de science-fiction, découvrez ici notre bilan des 20 meilleurs films de l'année 2016 selon nos critiques.

Les meilleurs films de 2015

Les meilleurs films de 2015

En marge de nos collections de films français, de films d'amour, d'horreur ou de science-fiction, découvrez ici notre bilan des 20 meilleurs films de l'année 2015 selon nos critiques.

Listings and reviews (3)

Coinstot Vino

Coinstot Vino

5 out of 5 stars

With a long terrace, protected from any adverse weather by its covered passage, Coinstot Vino might feel like the last sliver of paradise for smokers. But not just to them – because anyone lucky enough to drink here can expect pure joy. The menu is bursting with natural, flavourful wines with fun names to boot. A glass of the wine of the season sounds like a spy novel; the charming 'October Rouge' is a dynamic, light balance of grenache and syrah grapes. To go with it, we choose a generous portion of oxtail terrine, then a chicken supreme with vinegar – one of the house classics. Another unmissable dish at Coinstot Vino is the calzone, with its addictive combination of fior di latte, ham and tomato (€16). And to top it all off, we couldn’t resist the dark chocolate ganache – which we haven’t stopped dreaming about since. At around €20 for the lunchtime set menu (great value considering the neighbourhood), there’s no need to hold back. And the icing on the cake? If in doubt on the wine list, you can always consult the friendly Guillaume Dupré, owner and natural wine connoisseur, there to point you in the right direction with taste, precision, passion and humour. €25 a bottle will get a bottle worth remembering. And if you’re anything like us, you’ll struggle to stay away from this warm and friendly spot. TRANSLATION: MEGAN CARNEGIE 

Kaili Blues

Kaili Blues

4 out of 5 stars

Officiant dans la petite ville brumeuse de Kaili, dans la province chinoise du Guizhou, Chen, un médecin veuf, aimerait adopter son neveu Weiwei, avec lequel il entretient une relation paisible et paternelle. Mais apprenant bientôt que le jeune garçon a été vendu par son père, Chen part à sa recherche jusqu’à l’étrange village de Dangmai, dominé par le surnaturel et l’onirique, où se mêlent indistinctement passé, présent et futur. D’une maturité incroyable, ‘Kaili Blues’ est l’œuvre d’une jeune Chinois de 27 ans, Bi Gan, qui s’inscrit, dès ce premier long métrage, parmi les réalisateurs contemporains les plus impressionnants venus d’Asie. Manifestement biberonné à Tarkovski et Hou Hsiao-hsien, Bi Gan impose tranquillement son univers, pétri d’incertitudes et de souvenirs, de rêveries et de dilatations temporelles. Jouant avec brio sur l’indétermination de ses personnages et sur les techniques narratives (flashbacks, rêves éveillés…), ‘Kaili Blues’ réussit à établir un ton rare, fascinant et tout à fait singulier. Surtout, le travail de caméra semble ici tendre à une véritable réinvention du cinéma, entre innocence et audace formelle ; qu’il s’agisse des nombreuses mises en abyme qui parcourent le film (avec ses cadres dans le cadre comme autant de jeux de miroirs), de panoramiques impeccables et contemplatifs, ou encore d’un plan-séquence hypnotique d’une bonne quarantaine de minutes. Jeunesse, poésie, maestria… En somme, ‘Kaili Blues’ a tout pour constituer l’un des films le

Wanted

Wanted

4 out of 5 stars

Part of a revival of the iconic Halle Secrétan building, the newly-opened Wanted bar checks all the right boxes for a hip hot spot – pretty wood interiors, trendy music and a ‘bobo’ clientele. In keeping with its Italian-American theme, the menu features the usual antipasti classics, including Italian cheeses and charcuterie (we can recommend the mortadella with truffle), but it’s the pizzas that caught our attention. Priced between €12 and €18, they may seem expensive but trust us, they’re worth it, made with truffles, aged Parmesan cheese and other superb ingredients.  The drinks menu is carefully selected but comprehensive, featuring fresh fruit juices for €5, pints of Brooklyn Lager for €8.60, and Bardouin pastis for €3.50, as well as Italian digestifs like limoncello or grappa for €8. The well-made Negroni held us in good stead throughout the evening (cocktails range from €9- €12). TRANSLATION: MARIA THOMAS

News (2)

Cette semaine, faites le plein de ciné en plein air et de belles reprises en salles !

Cette semaine, faites le plein de ciné en plein air et de belles reprises en salles !

Si la période estivale peut sembler bien creuse en termes de nouvelles sorties, elle est aussi l'occasion idéale de retrouver quelques chefs-d'œuvres du cinéma, à la fois en plein air et dans les salles obscures. Suivez le guide... Début des séances gratuites et en plein air : le grand rendez-vous cinéma de l'été Deux festivals essentiels font leur retour annuel. D'abord, celui de la Villette, où il fait toujours bon de boire du rosé devant l'écran géant de la pelouse du Triangle. Cette année, le thème (un brin fourre-tout) du dress-code permettra de retrouver des longs métrages aussi divers que 'Gravity' d’Alfonso Cuarón, 'Ida' de Pawel Pawlikowski, 'Les Demoiselles de Rochefort' de Jacques Demy, 'Timbuktu' d’Abderrahmane Sissako ou 'Interstellar' de Christopher Nolan (consulter la programmation complète). En deux mots, voilà certainement le rendez-vous majeur de l'été parisien pour les amateurs de cinéma, aux côtés du festival Cinéma au clair de lune (également en plein air dans Paris), organisé par le Forum des Images dès la fin du mois de juillet. 'Les Demoiselles de Rochefort' de Jacques Demy / © Ciné Tamaris Et pour quelques films de plus... D'excellentes reprises en salles ! Voilà quelques semaines que certaines des sorties les plus passionnantes s'avèrent être des reprises de grands films méconnus (il est encore temps de courir voir 'Belladonna', fabuleux long métrage d'animation japonaise ressuscité des seventies, au Reflet Médicis !) ou de classiques comme 'Mascul

Top 5 des méchants les plus pervers du cinéma à revoir pour Halloween

Top 5 des méchants les plus pervers du cinéma à revoir pour Halloween

Pour accompagner l'arrivée à grands pas des festivités macabres d'Halloween et en guise d'apéritif de notre dossier des 60 meilleurs films d'horreur, voici un petit top 5 des méchants les plus pervers au cinéma. Accrochez-vous, ça va être sale... 1/ Le Diable, probablement « La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu'il n'existe pas ! », écrivait Baudelaire. Commençons donc par rendre à Satan ce qui appartient à ses avatars... Eh oui ! Bien qu'il se loge dans les détails, le Diable, sous ses diverses formes, reste sans doute le personnage le plus pervers et manipulateur de l'histoire du cinéma d'horreur. De Rosemary's Baby de Roman Polanski à La Maison du Diable de Robert Wise, nombreux sont les longs métrages à en mettre en scène ses multiples forfaits. Toutefois, c'est sans doute dans L'Exorciste de William Friedkin qu'il apparaît le plus ignoble, sous l'identité du démon babylonien Pazuzu, prenant possession de l'innocente Megan (Linda Blair) pour lui faire dire toutes les saloperies possibles.    2/ Hannibal Lecter Esthète raffiné, amateur de musique classique et de bon chianti, le psychiatre Hannibal Lecter apprécie aussi la bonne chère... surtout lorsqu'elle est d'origine humaine. Après tout, à chacun sa définition du « bio ». Mais il faut avouer qu'en termes de perversion, le psychopathe créé par Thomas Harris dans son roman Dragon rouge (1981) se pose là. Entre cruauté sanguinolente et manipulation mentale, « Hannibal le cannibale » est certainement l

New York City's Top Ten Urban Legends

New York City's Top Ten Urban Legends

Every week in Time Out New York, we give you a fun little New-York-based lie to tell unsuspecting tourists (you're welcome), but there are some tall tales we can't take credit for. Here are ten of our favorites.   1. Eight million ratsHeard there are as many rats as humans in the city? False! Normally, animal populations are calculated with the “capture-recapture” technique, where marked critters are released and estimates are based on the percentage recaptured. The Department of Health quashed this plan (because ew), and instead a statistician used 311 calls reporting rodent sightings to calculate 2014’s tally: There are only about 2 million, which means we will totally win the inevitable rats-versus-humans war.    2. Cropsey Cropsey is a maniac who snatches kids on Staten Island and kills them with his hook hands/ice pick/ax (obviously). Though he is not real (omigod, we hope!), some IRL horror did happen when several area children disappeared. Andre Rand, an employee at the Willowbrook State School, an institution for children with disabilities, was convicted of two kidnappings, while the rest remain unsolved. Creepy.   3. Sewer alligators Like all the best yarns, a shred of truth created this pervasive legend. Wealthy city dwellers once brought back alligators from Florida to domesticate, and as the story goes, owners who tired of their “pets” would flush them down the toilet. In 1932, The New York Times reported a gator sighting on the banks of the Bronx River, and in 19

24 heures pour découvrir l'âme de Montmartre (mais sans trop suivre les touristes)

24 heures pour découvrir l'âme de Montmartre (mais sans trop suivre les touristes)

  Si, contrairement à Bruno Lopes dans un fiévreux morceau des années 1990, vous ne disposez pas d’une caisse pour vous rendre aux Abbesses, vous ferez probablement comme tout le monde. Vous prendrez le métro. Là, dès la station Abbesses, barbotant à plusieurs mètres de profondeur dans les couloirs de la RATP, le cirque quotidien du quartier le plus touristique de Paris se formera sous vos yeux. Attendant l’ascenseur qui vous ramènera à la surface, vous tomberez sur une meute de visiteurs, d’adolescents portant des tee-shirts Nirvana, tandis qu’un type jouera une vieille scie de Cat Stevens à la guitare acoustique. Sachez alors que vous n’avez pas fini de croiser ces spécimens au cours de vos pérégrinations montmartroises. 10h : Arrivée place des Abbesses A la sortie du métro, un manège tournicote. Vous pourrez faire un tour, il vous en coûtera deux euros. Méfiez-vous seulement si vous avez bu la veille – ça tourne quand même. A côté, un duo contrebasse-saxophone interprète « Les Feuilles mortes » pour la onze-millième fois. Et derrière, d’un sourire narquois, le petit square Rictus vous invite à jeter un œil à ce mur de la mièvrerie, où « je t’aime » se trouve inscrit dans un paquet de langues et qui semble fonctionner comme un aimant à touristes, avec ou sans canne à selfies.   Alors, c’est plutôt à gauche de la sortie du métro, en prenant la rue Yvonne le Tac, que commencera votre itinéraire. Vous voilà devant la devanture de la Librairie des Abbesses. Entrez-y. Après avo

Seven over-the-top cocktails you need to try

Seven over-the-top cocktails you need to try

Judging from the food, festivals, clubbing and everything else Miami has to offer, it’s safe to say the city likes over-the-top experiences. Take these five drinks, for example—not one is your average cocktail.  1. The PaletaRita at Coyo Taco The PaletaRita is one of many delights at Coyo Taco’s secret bar, just a step beyond the small dining area and past the bathrooms. The drink is made with one of Coyo’s fresh paletas (fresh-fruit ices, traditionally made with all-natural ingredients). The corners are cut off the paletas and mixed into the drink, and the rest of the ice pop is placed inside the margarita. Coyo partner Anna Robbins got the idea when experimenting at the bar. “You can use fresh fruit, which can go bad very quickly, or you can buy these frozen purées,” Robbins says. “So I used locally made paletas in the drinks.” The PaletaRita comes in fun, refreshing flavors such as cocopassion (cocoa tequila and a passion fruit paleta) and chili cucumber rimmed with chili salt. 2. Bermuda Bomb at Shots Miami Served in a glass bowl, the Bermuda Bomb provides a good time and mesmerizing sight. Made with sour mix, a melon liqueur shot, Bacardi Limon Rum, Bacardi Coconut Rum, Bacardi 151 Rum and, to heat things up, fire. Ask the bartender for step-by-step instructions on how to handle the fire properly, things could get pretty dangerous if you don’t.  3. Lollipop Passion at Sugar Factory Get your cameras ready because this drink is guaranteed to give your Insta followers maj

En avril, Time Out vous donne rendez-vous à la Gaîté Lyrique pour son cycle de documentaires Secousses… Et c’est gratuit !

En avril, Time Out vous donne rendez-vous à la Gaîté Lyrique pour son cycle de documentaires Secousses… Et c’est gratuit !

Pour accompagner comme il se doit la prochaine édition du très recommandable Arte Concert Festival du 6 au 8 avril, Time Out vous a préparé une sélection aux petits oignons de documentaires pop, à retrouver en entrée libre chaque soir du festival dans le confortable Auditorium de la Gaîté Lyrique. Et c’est avec des corps recouverts de fascinants tatouages que nous commencerons le jeudi 6 avril à 18h30, avec ‘Tous tatoués !’, réalisé par Marc-Aurèle Vecchione, qui interroge avec finesse le monde du tatouage et son engouement contemporain. Ancien symbole d’une marginalité mythique, des prostituées aux marins en passant par les taulards, le tatouage est désormais passé, depuis le début du XXIe siècle, dans l’univers de la culture mainstream. Ce que cela traduit des cultures contemporaines et de notre actuel rapport au corps ? Vous l'apprendrez ici.       Le lendemain, toujours à 18h30, c’est avec le délicieux Etienne Daho que nous aurons rendez-vous, via le documentaire d’Antoine Carlier, ‘Etienne Daho, un itinéraire pop moderne’. Des petites salles de concert de Rennes au firmament de la pop française des années 1980-90, Daho promène sa délicatesse, son élégance et son timbre de voix inimitable entre spleen artisanal et expérimentations douces. L’un des derniers grands princes de la chanson française – et certainement le plus charmant – se livre ici en toute franchise.       Enfin, pas moins de deux documentaires vous attendent le samedi 8 avril : le premier, ‘Dragon Girls’

‘Chez nous’ : quand Lucas Belvaux décortique le FN

‘Chez nous’ : quand Lucas Belvaux décortique le FN

Actuellement en salles, le nouveau film du réalisateur belge suit l’embrigadement d’une jeune femme par un parti populiste dans le nord de la France. Ambitieux mais inégal. Une cartographie locale de l’extrême droite Ici, toute ressemblance avec la réalité est loin d’être fortuite… Dans une commune imaginaire du Pas-de-Calais qui pourrait bien être Hénin-Beaumont (qui se voit rebaptisée « Hénard » pour l’occasion), une jeune infirmière libérale, Pauline Duez (Emilie Dequenne), mère divorcée qui galère, se voit approchée par un riche médecin, Philippe Berthier (André Dussollier), qui la pousse à accepter de devenir tête de liste pour le parti d’extrême droite dont il est cadre : le Bloc Patriotique. Jusqu’ici peu versée dans la politique malgré un père militant communiste, Pauline se laisse peu à peu conquérir par le discours du « Bloc » et de sa dirigeante, Agnès Dorgelle (Catherine Jacob), sorte de clone de Marine Le Pen. En parallèle, bien qu’elle retrouve l’amoureux de ses 16 ans, Stéphane (Guillaume Gouix), dont elle s’éprend à nouveau, Pauline en ignore le passé de militant identitaire et de nazillon amateur de ratonnades de migrants – qu’elle ne tardera tout de même pas à découvrir… Quand l’extrême droite se pare d’un discours « socialisant » Pour la faire courte, disons que ‘Chez nous’ ne cherche pas tant à dénoncer le discours du FN stricto sensu qu’à dresser un état des lieux plus général de ce « Bloc » qui fait feu de tout bois : radeau de la méduse où des énarques

Les 3 Luxembourg : réouverture d'un cinéma mythique du Quartier latin

Les 3 Luxembourg : réouverture d'un cinéma mythique du Quartier latin

Après plus de six mois de travaux, le célèbre cinéma d’art et d’essai du Quartier latin rouvre ses portes, rénové en profondeur et déjà soutenu par de nombreux invités et une programmation toujours aux petits oignons. Rencontre avec sa jeune et pétillante directrice et programmatrice, Charlotte Prunier. Time Out Paris : Bonjour Charlotte. Pourriez-vous, pour commencer, nous résumer brièvement votre histoire avec les 3 Luxembourg ? Charlotte Prunier : Il faut déjà préciser qu'on est deux dans l’affaire : mon associé Alexis Dantec et moi-même. Nous avons racheté les 3 Luxembourg en 2012, au moment où le précédent propriétaire du cinéma a pris sa retraite. Ni Alexis ni moi ne connaissions alors le monde de l’exploitation ; nous nous occupions jusqu'ici plutôt de production et de financement de films, via la société Cofinova. Toutefois, nous avions tous deux terriblement envie de nous lancer dans cette aventure. Surtout avec un cinéma comme celui-ci ! L'ensemble de ces trois salles est en activité depuis une cinquantaine d'années, c'est bien ça ? Oui, les Trois Luxembourg existe depuis le milieu des années 1960. De façon générale, c’est vraiment un cinéma mythique du Quartier latin, très marqué par les manifestations qui y sont organisées. Dès ses débuts, en mai 68, les Trois Luxembourg ont accueilli les États généraux du cinéma. Plus tard, le cinéma a appartenu à Frédéric Mitterrand, qui en était directeur au début des années 1980. Aujourd’hui encore, il y a un effort très impor

Tout-Petits Cinéma : les moins de 4 ans ont rendez-vous au Forum des Images pendant les vacances de février

Tout-Petits Cinéma : les moins de 4 ans ont rendez-vous au Forum des Images pendant les vacances de février

Avec ses 7 ciné-concerts et ses ateliers, le Forum des Images propose un programme idéal pour les vacances des plus jeunes, à travers une initiation tout en douceur aux joies du cinéma.  A raison de 3 séances par jour (à 11h, 14h30 et 16h), les week-ends et mercredis du 4 au 19 février, les bambins de 18 mois à 4 ans auront la joie de découvrir quelques délicieux films d'animation (ayant ici majoritairement recours à la jolie technique artisanale des papiers découpés), mais aussi de participer à des ateliers autour de la danse version Bollywood, de la magie de l'animation des images, ou de l'importance du son et de la musique au cinéma.              Alternant ainsi ateliers, accompagnements de films en chansons et ciné-concerts, à mi-chemin entre cinéma et spectacle vivant, le festival Tout-Petits Cinéma fête cette année ses 10 ans, avec en plus de sa programmation ciné des jeux, coloriages et goûters offerts après chaque séance de l'après-midi. Il ne vous reste donc plus qu'une chose à faire : poser un ou deux bons jours de congés et replonger en enfance avec vos minus - ou ceux de vos amis. C'est parti, choupinette ? Tout-Petits Cinéma : bande-annonce            Quoi ? Festival Tout-Petits Cinéma.Quand ? Les mercredis, samedis et dimanches du 4 au 19 février 2017, à 11h, 14h30 et 16h.Où ? Au Forum des Images, 2 rue du Cinéma, Paris 1er.Combien ? 5,50 € (enfant) ou 7 € par séance ou 12 € par atelier (un enfant + un adulte). Plus d'infos (séances, horaires et détail des ate

Entrée libre : le festival Hors Pistes prend le large au Centre Pompidou

Entrée libre : le festival Hors Pistes prend le large au Centre Pompidou

Pour sa nouvelle édition, le festival Hors Pistes organisé par le Centre Pompidou a choisi pour thème la mer et sa traversée. C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme... A la fois mythique comme l'Odyssée et d'une actualité brûlante, souvent tragique, l'horizon maritime se déploie ici avec une résonance singulière, à l'heure des grandes crises migratoires, de la tragédie des réfugiés noyés sur les côtes européennes. Sans même parler de la pollution des océans... Installations, images, vidéos et artistes au travail prennent ainsi possession du niveau -1 du Centre Pompidou, du 25 janvier au 12 février, afin de scruter les horizons marins dans toute leur diversité. Par ailleurs, chaque soir des artistes ayant travaillé sur le sujet de l'océan et de ses traversées viendront à la rencontre du public, pour raconter la mer et ses méandres… Et c'est en entrée libre. Une fort belle occasion, en somme, de prendre le large ! Liste des installations : 'Archipelagiste' de Mare liberum 'Beau temps–ciels bleus' de Pauline Delwaulle 'Crise des migrants' de Raphaël Faon 'Open sea' de Raphaël Faon & Andres Salgado 'Parenthèse' de Katia Kameli 'Tentacules' d'Agnès de Cayeux 'Terra incognita' de Pauline Delwaulle 'The Acali experiment' de Marcus Lindeen 'Voiles migrantes' d'Enrique Ramirez 'What Rises From the Depths Cannot Help But Break The Surface' de Silvia Maglioni & Graeme Thomson Liste des films présentés : 'Cartografias para navegantes de tierra' d'Enrique Ramir

Akira Kurosawa : une immanquable rétrospective du maître

Akira Kurosawa : une immanquable rétrospective du maître

Deuxième volet de la rétrospective du maître japonais, avec 8 films (dont 2 inédits), merveilleusement restaurés par Carlotta. On ne vous apprendra sans doute rien en commençant par dire qu'Akira Kurosawa est reconnu comme l'un des plus grands cinéastes japonais de tous les temps - ou, tout simplement, comme l'un des plus grands cinéastes tout court, au même titre que Welles, Griffith, Renoir, Bergman, Ozu… Bref, l'un des noms incontournables de la cinéphilie universelle. Toutefois, ce que l'on aimerait rappeler ici, c'est que Kurosawa, ce n'est pas seulement l'invention d'un langage incroyablement puissant, qui influença autant le polar que le renouveau du western (de Sergio Leone à Tarantino). C'est aussi - et surtout - des films absolument palpitants, comme le sont les grands classiques de la littérature qui influencèrent le maître japonais : Balzac (que Kurosawa cite nommément dans cette interview - sous-titrée en anglais), Shakespeare (dont on retrouve les échos dans 'La Château de l'araignée' ou 'Ran') et Dostoïevski, dont Kurosawa adapta brillamment 'L'Idiot' en 1951.  S'étant longuement penché sur l'œuvre de Kurosawa (en particulier dans l'avant-dernier chapitre de 'L'Image-mouvement', premier volume de ses essais sur le cinéma), Gilles Deleuze résumait ainsi parfaitement la proximité fiévreuse liant le cinéaste japonais au prodigieux auteur russe des 'Frères Karamazov', dans sa conférence intitulée "Qu'est-ce que l'acte de création ?", donnée à la Femis en mars 1987,

Avant 'La La Land', Ryan Gosling chantait déjà dans un excellent groupe

Avant 'La La Land', Ryan Gosling chantait déjà dans un excellent groupe

En 2009, Ryan Gosling n'était pas encore l'icône qu'il est devenu depuis 'Drive'. Par contre, il avait déjà enregistré un excellent disque ! 'Dead Man's Bones'. Le nom ne vous dit sans doute rien, il est pourtant le titre d'un des albums les plus originaux de l'année 2009. Des voix d'outre-tombe, un piano sorti tout droit d'un western de John Ford, des percussions titubantes et une chorale d'enfants en plein trip Halloween : le projet porté par les deux multi-instrumentistes Ryan Gosling (qui, à l'époque, était surtout connu au cinéma pour ses rôles dans 'N'oublie jamais' et 'Half Nelson') et Zach Shields dénotait clairement parmi la production de l'époque. D'ailleurs, avant de jouer du piano et de chanter dans 'La La Land' de Damien Chazelle, Ryan Gosling a composé des musiques pour plusieurs films, comme 'Wild Roomies' d'Oliver Robins en 2004, ou le plus récent (et bien flippant) 'Conjuring : Les Dossiers Warren' de James Wan - au sein duquel on retrouve d'ailleurs plusieurs compositions de son ancien comparse de Dead Man's Bones, Zach Shields, entre-temps devenu scénariste et producteur. Mais revenons-en donc à 'Dead Man's Bones' : unique disque éponyme de ce duo joliment gothique et jouissivement rêche, qu'on vous laisse découvrir sans plus attendre ici même. Dead Man's Bones en vidéos         Lire aussi notre critique de 'La La Land'